La photo du mois de juin 2024

Nous avons retenu sur Instagram, la photo de @emagirardot intitulée « le ciel de Sèvres »

Le dessin du mois de juin 2024

Tribunes libres – Juin 2024

Tribune de la majorité

Vive le sport à Sèvres ! Et vive l’Europe
La tenue des prochains Jeux Olympiques à Paris cet été, dont 4 épreuves passeront par le territoire de Sèvres, est l’occasion de se réjouir de la place qu’occupe le sport à Sèvres. Cette année, nos 22 associations sportives sévriennes les plus importantes n’accueillent pas moins de 10 550 sportifs dont plus de 6 200 Sévriens. Comment ne pas se réjouir d’une telle pratique du sport, assidue, à Sèvres ? Elle est naturellement bénéfique pour chaque pratiquant (mettez-y vous !), mais aussi, nous en sommes bien sûrs, pour l’ensemble du tissu social sévrien. Car, si la musique adoucit les mœurs comme le dit le proverbe, le sport les apaise bien certainement aussi, de par les belles valeurs qu’il véhicule : le respect des règles, de soi-même et des autres, la loyauté, l’humilité, la fraternité, la détermination, le dépassement de soi. …
Deux facteurs permettent cet épanouissement du sport à Sèvres.
Les formidables bénévoles qui animent nos associations sportives en premier lieu. Ils ne comptent pas leurs heures, leur dévouement est exemplaire et c’est grâce à eux, passeurs gracieux de leur passion pour tel ou tel sport, que les Sévriens peuvent s’adonner au sport sans trop de frais. C’est grâce à leur engagement que leurs adhérents connaissent le plaisir exigeant de progresser, année après année, dans un sport. C’est grâce à leur dynamisme qu’éclosent régulièrement à Sèvres des champions et des championnes au niveau national, voire international. Nos bénévoles associatifs sévriens sont absolument remarquables et nous souhaitons leur témoigner notre profonde reconnaissance. A ceux de la plus ancienne association sportive, la Jeune Sévrienne, fondée en 1910, comme à ceux de la plus jeune, l’Union Sévrienne de Futsal, en passant par ceux du Comité Olympique de Sèvres, riche de ses presque 80 ans d’histoire. Vos élus de la majorité ont voté pour un total de 340 000 euros de subventions municipales pour les associations sportives de la ville.
L’engagement de la ville pour le sport est également essentiel. C’est ainsi qu’elle ne propose pas moins d’1 piscine, 4 stades et 3 gymnases aux adeptes du sport à Sèvres, sans compter ses terrains de sport en accès libre et ses terrains de tennis. Un tel taux d’équipement en infrastructures sportives est exceptionnel tant et si bien que le journal Le Parisien classe la ville de Sèvres 3e des 385 villes de plus de 5000 habitants que compte la région francilienne les mieux équipées en matière sportive et culturelle. Ce taux d’équipement a naturellement un coût, celui de l’entretien parfois lourd de ces infrastructures.
Ce jeudi 6 juin, nous fêterons le 80e anniversaire du débarquement allié en Normandie. Comme en 1918, la France n’aurait jamais pu surmonter seule les terribles épreuves de la guerre mondiale qui la meurtrissait. C’est forte de ses expériences douloureuses qu’elle a choisi de construire une communauté européenne en 1950, du charbon et de l’acier d’abord, élargie progressivement par la suite. Seule une Union européenne forte peut rendre fort notre beau pays. Ne l’oublions pas ce dimanche 9 juin, jour des élections européennes.
L’équipe de la majorité
(29 élus non-inscrits ou membres de LR, du MoDem, de RE et de l’UDI)

Tribunes des oppositions

Groupe Sèvres en transition

Une désertification commerciale inéluctable ?

Ce journal relate régulièrement la liste des commerces repris ou ouverts à Sèvres, accompagnés d’une photo souriante des nouveaux commerçants, quelquefois avec le maire à leurs côtés. Pour ne pas assombrir l’atmosphère d’une ville dont la vie serait un long fleuve tranquille, rythmé par l’ouverture de restaurants et les promesses de luxe, de calme et de volupté, on évite de nous parler des très nombreux commerces dont les rideaux sont baissés et dont la fermeture est annoncée par des petites affichettes « cession de bail ». Les rues dites commerçantes voient se multiplier les fermetures. Les quelques rares reprises sont opérées par des « vitrines froides », c’est-à-dire des bureaux, agence de placement de personnel, agence immobilière etc. En revanche, poissonnier, fromager, fleuriste, boutique de cadeaux, bazar, qui apportent vie et convivialité aux quartiers sont en grande souffrance. Deux constantes, la cupidité de certains propriétaires des surfaces commerciales avec des loyers au niveau indécent et qui condamnent le commerce. Deuxièmement, l’inertie et le déni d’une municipalité qui refuse de voir le problème d’un commerce en voie de paupérisation, d’un manque de diversité et d’attractivité. Les commerçants du marché ne disposent d’aucune facilité pour stationner et les loyers de leurs emplacements sont très élevés. Le commerce populaire est ignoré. Par ailleurs, la promenade dite « des jardins », aboutit à marginaliser les commerces de la Grande rue qui lui font face. La ville insiste pour que les Sévrien-nes n’empruntent plus le trottoir chaland.
Certains locaux sont la propriété de la municipalité qui va les détruire. Ils vont rester vides pendant des années comme l’ancien Carrefour bio et le Tabac de la Mairie, renforçant le chantier perpétuel promis par le maire. Il faut abandonner la notion d’un centre-ville de quelques centaines de m2 où tout devrait se concentrer et où la majorité municipale veut encore construire des surfaces de commerce alors que celui-ci est en déshérence
La préemption des locaux vides doit être une priorité absolue ainsi que la définition avec les Sévrien-nes des nouveaux commerces ou des services utiles à la vie commune. La ville doit accompagner par des locations solidaires les entrepreneurs. Une reprise en gestion directe du marché par la ville serait indispensable.
Dans notre programme de 2020, nous proposions la piétonisation d’une partie de la Grande rue, afin de la rendre plus agréable à parcourir. De nombreuses études démontrent que les rues rendues aux piétons deviennent des lieux où le commerce se porte mieux.
L’enquête publique du plan d’urbanisme intercommunal se tient du 27 mai au 28 juin et nous vous invitons à vous exprimer !

Catherine Candelier, Jean Duplex, Anne-Marie de Longevialle Moulaï, Luai Jaff, Frédéric Puzin
https://www.facebook.com/Sevresentransition/

Pour Sèvres

Le réaménagement du centre-ville, désormais en phase opérationnelle, est une aberration d’un autre temps qui hypothèque financièrement l’avenir de Sèvres : 40 millions d’argent public qui en seront 50 et 8 ans de travaux en plein centre pour déplacer la halle de marché ! Avec le tiers de cette somme, la rénovation du marché actuel et des espaces qui l’entourent serait déjà finie et des fonds seraient disponibles pour décarboner et adapter Sèvres au dérèglement du climat : isolation thermique des bâtiments, rénovation écologique des espaces publics, amélioration des transports (voie de bus, pistes cyclables, navettes électriques)… poursevres.fr
Denis Moron

Le « Baptême de Notre Seigneur », œuvre historique du XVIIIe siècle

Dans l’église Saint-Romain, le bas-relief « Le baptême de Notre Seigneur » vient de retrouver sa place au fond gauche de la nef. 237 ans après sa création, cette œuvre insérée dans le mur d’un bâtiment inscrit au titre des monuments historiques, avait grand besoin d’être restaurée. Elle a été sculptée en 1787 par Louis-Simon Boizot, né en 1743. Fils d’Antoine Boizot, peintre du roi, Louis-Simon Boizot se destine à l’art dès son plus jeune âge. Il bénéficia des enseignements de Jean-Baptiste Pigalle, un ami de la famille. L’empreinte de ce talentueux sculpteur se dévoila très tôt : en 1762, il remporta le Premier prix de Rome avec son œuvre La mort de Germanicus. C’est le début d’une carrière exceptionnelle.


Après avoir passé cinq années à l’Académie de France à Rome, Louis-Simon Boizot revient en France avec une maîtrise artistique remarquable. Il fut agréé par l’Académie et dès 1773, il exposa régulièrement au Salon. En 1774, il prit la direction de l’atelier de sculpture de la Manufacture de Sèvres, succédant à Étienne Maurice Falconet. Son talent lui permit de devenir académicien en 1778 grâce à sa statue de Méléagre. L’artiste était désormais reconnu aux côtés des plus grands, tels qu’Augustin Pajou et Jean-Antoine Houdon.
Deux bas-reliefs ont été restaurés dans l’église Saint-Romain
À Sèvres, il sera connu pour la création du bas-relief «?Le baptême de Notre Seigneur?». Cette œuvre est un modèle réduit préparatoire d’une autre réalisation qui trône magnifiquement sur un mur de la sacristie de l’église Saint-Sulpice à Paris. Le temps avait marqué l’œuvre, la laissant vulnérable à l’humidité et à la corrosion. Le Sévrien a rencontré Jean-François Salle, diplômé de l’Institut national du patrimoine, en charge d’une partie de cette restauration. « Le bas-relief, coupé en deux à l’origine, avait été ficelé par l’arrière lors d’une restauration précédente. Nous avions des problèmes d’humidité sur le mur et des accroches rouillées. Nous avons dû intervenir pour remplacer ces éléments tout en préservant l’intégrité de l’œuvre » explique-t-il. Grâce à cette restauration minutieuse, le bas-relief a retrouvé toute sa splendeur, permettant ainsi aux visiteurs de l’église Saint-Romain de redécouvrir ce chef-d’œuvre classé dans des conditions optimales.

Non loin de cette sculpture, un autre bas-relief, « Joseph vendu par ses frères », témoigne de la relation entre Louis-Simon Boizot et son disciple Henri-Victor Roguier. Restaurée également par Jean-François Salle, cette œuvre est en effet l’original de la pièce qui permit à Henri-Victor
Roguier de remporter le second Grand Prix de Rome en 1784.
Henri-Victor Roguier, né en 1758 à Besançon, d’origine modeste, fut aidé par son maître, Louis-Simon Boizot qui l’encouragea et facilita son entrée à la Manufacture royale de porcelaines de Sèvres. « La relation entre Boizot et Roguier est fascinante, elle illustre parfaitement la transmission du savoir et de la passion artistique??» souligne Jean-François Salle. Par la suite, Henri-Victor Roguier se consacra à la sculpture d’ornements et réalisa de nombreux modèles pour diverses fabriques de bronze. Ses réalisations pour la Cour du roi Charles X lui valurent le titre de « sculpteur des fêtes et cérémonies de la Couronne ». Il exposa au salon du Louvre de 1808 à 1822 et obtint une médaille d’or en 1812. Il résidait à Paris, au 4 de la rue des Filles-du-Calvaire, et est décédé à Paris le 14 août 1841. Ces deux chefs-d’œuvre restaurés avec soin sont à découvrir dans l’église Saint-Romain.

« Fair Play » : une nouvelle exposition au JAD

Du 29 mai au 22 septembre 2024, le Jardin des métiers d’Art et du Design organise l’exposition
Fair Play, design et métiers d’art, beaux joueurs de l’inclusion ? Une exposition qui interroge la façon dont les métiers d’art et du design s’emparent des enjeux sociétaux, notamment ceux liés à l’inclusion.
En écho à l’actualité sportive de l’été et aux valeurs paralympiques « courage, détermination, inspiration et égalité », le Jardin des métiers d’Art et du Design confie pour la deuxième édition de « L’été au Jardin », sa carte blanche à Antoine Fenoglio et Marcela Mussi, du collectif Les Sismo, qui livrent avec « Fair Play » une réflexion sur les mille formes du design social et inclusif.
Jusqu’au 22 septembre prochain, l’exposition propose aux visiteurs cinq parcours pour découvrir les trois chapitres de l’exposition : L’inclusion par le partage, L’inclusion par l’adaptation et Les nouveaux desseins de l’inclusion. « Fair Play, design et métiers d’art, beaux joueurs de l’inclusion ? » réunit, en réponse à ces grands thèmes, une variété de projets et d’acteurs tels que la prothèse de
Dimitry Hlinka – créée pour l’athlète français Arnaud Assoumani, ou encore le livre en lecture tactile « Amazonia Touch » du Studio de création Créanog – en collaboration avec le photographe Sebastiao Salgado, la gamme d’électroménager inclusif de la marque SEB, l’étude « Peaux éthiques » pilotée par Audrey Brugnoli du collectif Stétopotes sur les pratiques du soin et du bien-être pour des personnes atteintes de maladies rares de la peau, ou encore la recherche sur la gravure tactile de l’artisan libanais Alexandre Abdelnour.
Une aire de jeu et un espace ressources composées de podcasts et ouvrages divers viennent enfin compléter l’exposition pour une approche plurielle de l’expérience visiteur, imaginée lors d’un workshop s’appuyant sur les principes du « Caring Museum ».

Renseignements :

Exposition « Fair Play, design et métiers d’art, beaux joueurs de l’inclusion ? »
Jardin des métiers d’Art et du Design
6, Grande Rue
Gratuit sur inscription
Visites commentées : samedi 6 juillet et 7 septembre à 11h
Les rencontres du JAD : mercredi 19 juin à 19h
Informations et inscriptions sur le-jad.fr

À la rentrée prochaine, testez l’aquagym !

Saviez-vous que dans l’eau, le corps ne pèse plus que 70 % de son poids, ce qui rend les mouvements bien plus faciles et ce qui réduit significativement le risque de blessures ? C’est pourquoi, il est conseillé aux seniors de pratiquer l’aquagym, puisqu’il permet de garder la forme et de prévenir des maux dus au vieillissement. L’eau facilite les mouvements, ce qui donne à l’aquagym de nombreux bienfaits, notamment pour les personnes en perte d’autonomie. Les muscles et les articulations travaillent, le corps se redynamise, bref, l’aquagym permet à de nombreuses personnes de se réconcilier avec le sport et d’améliorer significativement leur condition physique !
L’Espace seniors propose des séances d’aquagym hebdomadaires. Envie de vous lancer ?
Inscrivez-vous entre le 9 et le 13 septembre pour en bénéficier !

Renseignements :

Aquagym
Inscriptions du 9 au 13 septembre auprès de l’Espace seniors
au 01 41 14 11 36

La musique est à l’honneur à la médiathèque de Sèvres

Chaque année, la médiathèque de Sèvres vous donne rendez-vous pour une semaine autour de la musique. Du 11 au 15 juin, les Sévriens pourront dans un premier temps, profiter d’une exposition rétrospective des affiches de la Fête de la musique depuis son lancement en 1982. Parmi ces illustrations, notons la participation d’illustres dessinateurs. Sempé signe l’affiche en 1984. Le célèbre Tomi Ungerer, connu pour ses livres jeunesse, s’associera à plusieurs éditions de la Fête de la musique fin des années 80. En 1990, c’est Wolinski qui s’attèle à la tâche.
Une belle entrée en matière pour lancer les différents ateliers de la semaine. Heure du conte musicale, ateliers d’éveil pour les plus petits ou encore concerts des élèves du conservatoire de Sèvres animeront la médiathèque. La fin de semaine sera clôturée par le concert « A la cour de Grenade » samedi 15 juin à 16h, une performance live de Julien Coulon, musicologue spécialiste des cordes pincées, accompagné de la danseuse Sarah Rhéa. Gratuit et ouvert à tous, ce concert sera une excellente occasion de se rassembler pour apprécier la musique live dans une ambiance festive et accueillante.

Renseignements :
Semaine de la musique
Du 11 au 15 juin
Médiathèque de Sèvres
Programme complet ci-dessous

Baby-sitters et parents, une formation pour vous à l’Escale !

L’escale propose aux personnes en contact régulier avec de jeunes enfants (parents, futurs parents, baby-sitters), une initiation aux premiers secours enfant et nourrisson (IPSEN) le 22 juin prochain. Cette formation, effectuée par la Croix-Rouge, sensibilise les participants à la prévention des accidents domestiques et de la vie courante et propose un apprentissage des gestes de premiers secours de l’enfant et du nourrisson. Les participants apprennent à prévenir les risques, à alerter les secours en cas d’urgence, et à réagir devant un enfant ou un nourrisson en danger (enfant ou nourrisson qui s’étouffe, inconscient, qui ne respire pas ou qui saigne abondamment).

Renseignements :

Formation IPSEN
Samedi 22 juin de 9h30 à 14h
Montant : 10€ – Informations au 01 41 14 12 20
et inscriptions obligatoires à l’Escale (Nombre de places limité).

Ôyes, un dispositif pour lutter contre l’isolement des personnes âgées

Ce dispositif gratuit pour les seniors, intégralement financé par le Département des Hauts-de-Seine permet à des agents de convivialité (jeunes de moins de 26 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA ou encore auxiliaires de vie), de passer du temps avec des seniors via des appels téléphoniques ou des visites de convivialité.
L’objectif de ce dispositif est de lutter contre l’isolement des seniors de plus de 65 ans, et contre la précarité étudiante, en proposant un emploi rémunéré et solidaire. La prestation est gratuite pour la personne âgée et fait l’objet d’un soutien financier par le Département des Hauts-de-Seine. Ce dispositif, piloté par l’agence interdépartementale AutonomY, est de nouveau activé entre juillet et octobre 2024. Pour la première fois, l’Espace seniors de la ville de Sèvres souhaite en faire bénéficier ses seniors. Seniors, si vous souhaitez avoir plus de renseignements sur ce dispositif gratuit, l’Espace seniors répondra à toutes vos questions.
À noter, qu’en 2023, le dispositif Oyes comptait 800 séniors bénéficiaires par mois et a permis d’effectuer plus de 1100 visites à domicile et 4400 appels de convivialité.

Renseignements :

Espace Seniors
Tél. 01 41 14 11 36

« Talk’n play » à l’Escale : et si les jeunes se livraient en jouant ?

Les résultats de l’enquête nationale en collèges et en lycées chez les adolescents sur la santé mentale et les substances (EnCLASS) ont été publiés le 9 avril 2024. Ils révèlent que 14% des collégiens et 15% des lycéens présentent un risque important de dépression. Réalisée sur près de 10 000 élèves du secondaire entre 2018 et 2022, l’étude montre que la proportion de collégiens percevant leur santé comme excellente a connu une baisse significative par rapport à la période 2010-2018 et que cette baisse concerne davantage les filles que les garçons. C’est dans ce contexte que la Maison de la Famille et les informateurs jeunesse de l’Escale ont créé un nouveau rendez-vous toutes les deux semaines à destination des jeunes : «Talk’n play» est un moment convivial et neutre pendant lequel les collégiens et lycéens peuvent venir jouer et discuter en toute tranquillité.
Pour Annie Burkel, psychologue à la Maison de la Famille, « la santé mentale des jeunes se dégrade de plus en plus aujourd’hui. Si au travers du jeu, nous arrivons à discuter avec eux et faire passer des messages, nous aurons réussi notre pari ». Encadrés par les informateurs jeunesse de l’Escale et une professionnelle de la Maison de la famille, les jeunes ont la possibilité de jouer à des jeux de société ou s’amuser avec des jeux vidéo. « L’atelier Talk ‘n play est prioritaire sur les autres accompagnement du public. Ce qui nous permet d’être à leurs côtés, et de saisir l’occasion d’échanger dès que cela est possible » explique Sophie Gousse, directrice de l’Escale.
L’objectif est simple : permettre aux jeunes de parler de tous les sujets qui les concerne, que ce soit de leurs loisirs, de leurs projets, de leur scolarité ou des difficultés qu’ils peuvent rencontrer. Les informateurs jeunesse de l’Escale peuvent aussi leur proposer des ressources et les orienter si besoin.

Renseignements :

« Talk’n play » à l’Escale
Prochaines sessions : 14 et 28 juin de 16h30 à 18h30
Entrée libre sans inscription
Plus d’informations au 01 41 14 12 20