Le Sévrien n°277 – Décembre 2024
Le Sévrien n°277 – Décembre 2024
La magie de Noël a de l’avance à la médiathèque !
La médiathèque propose aussi des sélections sur le thème de Noël et des pochettes mystère ! Une expérience lumineuse qui vous mettra des étoiles plein les yeux !
Spectacle le vendredi 6 décembre à 20h
Laissez-vous emporter par le spectacle Cosmix de jonglage et laser rythmé par des effets lumineux et colorés incroyables.
Spectacle le samedi 7 décembre à 11h précédé d’un atelier d’éveil théâtral et musical à 10h
Plongez dans l’imaginaire poétique d’une petite fille de 7 ans et de ses aventures nocturnes ! Ce conte musical nous transporte dans un monde magique où les rêves deviennent réalité. Proposé par la compagnie La Belle Tuile, qui consacre un temps avant le spectacle à la découverte des personnages du spectacle.
Exposition gratuite du 4 décembre 2024 au 12 janvier 2025 – Rencontre avec l’artiste le samedi 7 décembre à 19h
Tournez la tête vers les étoiles : les paysages de Frédéric Gracia reflètent une fascination pour le cosmos et ses insondables mystères. Ses œuvres immersives invitent le spectateur à contempler l’immensité et à se laisser transporter par les rêves de l’exploration spatiale.
Spectacle le samedi 7 décembre à 18h
Meilleur spectacle jeune public au festival Les Cyranos 2023. Olivier Courbier, professeur de théâtre au Sel, nous livre une adaptation incontournable du chef-d’œuvre de Saint-Exupéry. Dès 8 ans.
Atelier musical interactif le samedi 7 décembre à 16h, gratuit sur réservation sur sel-sevres.org
Partagez un atelier musical interactif L’odyssée sonore où des voyageurs de l’espace se sont posés d’urgence sur une planète inconnue dont les habitants communiquent par des bruits et des sons…
Ciné-gaming le dimanche 8 décembre à 15h
Le Ciné-Sel vous invite à partager un moment en famille : la projection du film Wall-E suivie d’une session collective de jeux vidéo et d’un temps d’échange sur l’usage des écrans.
La remise des boîtes de chocolats aux seniors de 80 ans et plus se déroulera dans une ambiance festive et musicale, accompagné d’un buffet sucré et d’un chocolat chaud.
Jeudi 12 et vendredi 13 décembre
Pour les seniors de 80 ans et plus.
Salon Saint-Omer de 14h à 16h30
Pour que le cycliste Paul Varry ne soit pas mort pour rien
Mardi 15 octobre, Paul Varry, un jeune cycliste âgé de 27 ans, est mort à Paris après avoir été écrasé volontairement par un automobiliste à l’issue d’une altercation entre eux, le premier reprochant au second de rouler sur la piste cyclable. Le chauffeur responsable de cette mort tragique a depuis lors été mis en examen pour meurtre et mis en détention provisoire. Paul Varry ne peut être mort pour rien et sa mort brutale doit amener chacun d’entre nous à une introspection sur son propre comportement routier.
Au-delà d’une violence délibérée, nous rendons-nous compte que notre voiture, notre moto, notre vélo ou notre trottinette peuvent grièvement blesser, tuer même, si nous n’y prenons garde ? Les lois de la physique sont incontestables : un cycliste ne peut rien contre une voiture caparaçonnée de tôle et pesant cinquante fois son poids. De même, un piéton ne peut rien face à un vélo lancé à pleine vitesse contre lui. Protégeons-nous toujours le plus faible sur la route ? Automobilistes, respectons-nous scrupuleusement les pistes cyclables ou nous arrive-t-il de rouler dessus, et respectons-nous toujours le sas vélo pour les cyclistes devant chaque feu rouge ? Cyclistes, nous arrêtons-nous systématiquement au feu rouge pour ne pas percuter involontairement un piéton qui traverse ?
Un autre engagement que nous pouvons prendre à la mémoire de Paul Varry est de maîtriser notre vitesse et de toujours respecter la limite de vitesse autorisée sur une voie. Roulons-nous bien à 20 km/h maximum sur une zone de rencontre où le piéton est prioritaire sur la voie et doit pouvoir y cheminer librement et sans danger ? Roulons-nous bien tous à 30 km/h maximum dans les rues de Sèvres qui sont toutes en zone 30, y compris la rue de Ville-d’Avray et la rue des Bruyères (la seule exception étant la route départementale qui va du pont de Sèvres à Chaville) ?
Au-delà de notre engagement individuel, notre engagement collectif doit être également résolu. Nos espaces urbains, conçus à l’époque du tout-voiture, laissent peu de places aux piétons et aux cyclistes et doivent évoluer. Leur adaptation est douloureuse le temps des travaux mais elle est nécessaire. C’est ainsi que nous ne nous plaindrons pas lors des travaux qui auront lieu de février 2024 à fin 2028 pour convertir l’échange autoroutier de la manufacture en une entrée de ville apaisée qui proposera 1,1 kilomètre de piste cyclable, 2/3 d’hectare d’espaces verts en plus et 102 arbres supplémentaires. Nous ne nous plaindrons pas davantage lors des travaux de création d’une piste cyclable bidirectionnelle le long des grilles du domaine national de Saint-Cloud, du pont de Sèvres au pont de Saint-Cloud, du printemps 2026 au printemps 2027. Enfin nous nous réjouissons de la création à venir d’une piste cyclable dans chaque sens le long de la route départementale allant de l’avenue de la Division Leclerc à Chaville. Début des travaux en avril 2026.
L’équipe de la majorité
(29 élus non-inscrits ou membres de LR, du MoDem, de RE et de l’UDI)
Groupe Sèvres en transition
Le recul de la démocratie à Sèvres
Un conseil municipal est le lieu de prise de décisions impactant la vie quotidienne des habitant-es. À Sèvres, notre conseil n’est pas particulièrement exemplaire en matière d’organisation de débats. En cause tout d’abord, le mode de scrutin : « la majorité » a obtenu, en 2020, 23?% des voix des 15?080 inscrits aux élections municipales et 83?% des sièges au conseil municipal.
Fort d’un règne sans partage, les décisions unilatérales prises sans concertations ni expertises sérieuses sont nombreuses. La majorité municipale n’aimant pas les débats, elle s’oppose par exemple à leur retransmission numérique au profit de monologues du maire sur Facebook.
Hors du conseil municipal, il est possible et souhaitable d’écouter et de prendre en compte l’avis des habitant-es. Le maire a enterré le Conseil communal du développement durable qui réunissait des spécialistes de la protection de l’environnement, des citoyen-nes et des élu-es. Il désigne, en bon prince, les membres des conseils de quartier et les reçoit en mairie accompagné des conseillers municipaux de sa majorité, considérant que la simple rencontre d’un élu minoritaire allait ternir la bonne ambiance. Nous respectons le dévouement des conseillers nommés, mais déplorons l’opacité et les visées politiciennes de cette organisation. Les réunions de quartier ne sont pas annoncées sur le site de la ville et sont fermées aux autres Sévrien-nes au contraire des pratiques usitées jusqu’en 2014. Elles ne font plus l’objet d’un compte-rendu : les derniers publiés sur le site de la ville datent de 2019?! Pourtant, ces conseils de quartier devraient être des espaces de débats et de dialogue avec et entre citoyen-nes. Aujourd’hui, toute controverse ou critique constructive concernant l’action municipale sont soigneusement évitées. À Sèvres, comme ailleurs, les conseils de quartier devraient se doter d’une charte de fonctionnement, permettant la participation de toutes et tous !
La voix de la jeunesse n’est pas mieux traitée : les membres du Conseil communal des jeunes souffrent d’une désignation par le maire. Là encore, après avoir été « intronisés » (sic) par le maire, elles et ils n’ont jamais été présenté-es à l’ensemble du conseil municipal. Une façon un peu étrange de les éduquer à la diversité d’opinions et à la démocratie ! De notre point de vue, un conseil municipal des jeunes devrait être issu d’une élection, comme dans la quasi-totalité des villes.
Les réunions et les interventions écrites sur le projet de destruction du centre-ville et de la passerelle n’ont jamais fait l’objet de retours, ni d’analyses. On laisse entendre que tout le monde est d’accord, alors que ce projet dispendieux est fermement contesté par beaucoup.
À Sèvres, comme partout dans notre pays, la démocratie ne devrait pas faire peur !
Catherine Candelier, Jean Duplex, Anne-Marie de Longevialle Moulaï, Luai Jaff, Frédéric Puzin
www.facebook.com/Sevresentransition/
Pour Sèvres
Un évènement important à Sèvres risque bien de passer inaperçu auprès des Sévriens : les 200 ans du Musée National de la Céramique, dont la célébration, commencée le 11 octobre durera jusqu’au 10 mars 2025. Si la ville de Sèvres est connue dans le monde entier, c’est avant tout grâce aux porcelaines d’excellence produites depuis le milieu du XVIIIe siècle par la Manufacture de Sèvres. Il est dommage que Sèvres n’utilise pas cette notoriété pour développer son attractivité touristique et commerciale et dynamiser ses commerces. Ce bicentenaire aurait ainsi pu être l’occasion d’animations, de décorations mettant la ville à l’honneur.
Plus sur poursevres.fr
Denis Moron
Nous avons retenu, sur Instagram, la photo d’une balade de paddle de
@join_the_flow sur la Seine, à proximité de l’île de Monsieur.
Né en 1761 à Saint-Pol-sur-Ternoise, Louis Albert Bacler d’Albe est une figure fascinante de l’épopée napoléonienne. Général et cartographe, il cultivait une passion pour les arts visuels. Sa résidence à Sèvres, actuellement le collège arménien Moorat, illustre son goût pour l’harmonie entre rigueur scientifique et beauté artistique.
Diplômé de l’École militaire de Paris, cet aristocrate fait ses débuts en tant que peintre et naturaliste. En 1782, il fait un séjour de sept ans en Italie et dans les Alpes où ses premiers tableaux paysagers lui valent déjà une réputation. Il a semble-t-il un atelier à Sallanches où il peint des paysages de montagne du Haut-Faucigny. Conquis par les idées de la Révolution, il est également un des proches du général Bonaparte qu’il suit dès le siège de Toulon (1793), avant de s’engager dans l’armée d’Italie comme officier géographe.
Remarqué pour la précision inégalée de ses cartes, il est nommé chef du cabinet topographique de l’Empereur. Il devient l’un des officiers les plus sollicité, les informations cartographiques étant cruciales pour la prise de décision lors des opérations militaires. De 1804 à 1814, il participe à toutes les campagnes militaires et réalise la première carte homogène de l’Europe, la « carte de l’Empereur » qui sera partiellement perdue pendant la retraite de Russie. En récompense de ses services, cet officier de génie est fait général, baron d’Empire et Officier de la Légion d’honneur.
Mais Bacler d’Albe ne se contente pas de briller dans le domaine de la cartographie, il est aussi un artiste accompli. Dès 1796, il est embauché par Bonaparte pour réaliser des tableaux de la campagne d’Italie ainsi que l’un de ses premiers portraits ce qui contribuera à faire connaître le général au public. Bacler d’Albe peint notamment de grandes toiles (batailles d’Arcole, Rivoli, Lodi, passages du Pô) et, plus tard, la veillée d’Austerlitz (1805) et le bombardement de Vienne de 1809. On estime son œuvre artistique à près de 500 tableaux.
Ses peintures de bataille, réalisés avec une grande sensibilité, capturent des paysages, avec une précision et une beauté remarquables. Ses dessins et gravures enrichissent ses publications et rapports, ajoutant une dimension esthétique à ses contributions techniques. Après la chute de l’Empire, il se retire à Sèvres où il se consacre définitivement à la gravure.
Sa résidence à Sèvres, où il s’installe pour profiter d’un cadre tranquille et raffiné, est un autre aspect de son héritage. Le bâtiment principal, à peine modifié par la surélévation de ses extrémités latérales, existe toujours au n°26 de la rue Troyon, et abrite aujourd’hui le collège arménien Samuel Moorat.
Désormais, le baron se consacre à l’Art et participe également à la production artistique de la Manufacture de Sèvres. Ses gravures représentant des paysages de Sèvres, de Meudon ou de Saint-Cloud sont des témoignages uniques des bords de Seine du début du XIXe siècle. Le vieux pont de Sèvres est un des sujets les plus représentés.
Décédé en 1824 à Sèvres, le baron Bacler d’Albe laisse un héritage impressionnant. Son travail en cartographie, combiné à son talent artistique, font de lui une figure incontournable de son époque. Redécouvrir ses œuvres aujourd’hui, dont certaines sont conservées aux Archives municipales de la Ville de Sèvres, c’est redonner vie à un pan essentiel de l’histoire du début du XIXe siècle.
Il n’y a pas que dans les livres que l’on peut vivre de belles histoires. La preuve avec celle des Conteurs de Sèvres. Le 12 octobre cette association vient de fêter ses trente ans d’existence. Si son histoire est assez originale (voir encadré), en 2024, l’association peut se targuer d’être toujours très active.
Fort de ses 32 conteurs permanents, Les Conteurs de Sèvres comptent plus de quarante adhérents et se produisent très souvent lors de tous types d’événements. À commencer par des interventions régulières dans certains établissements de la ville. Ainsi, des contes pour les jeunes sont proposés un samedi par mois à la médiathèque de Sèvres. Et ce n’est pas tout puisque Les Conteurs de Sèvres interviennent régulièrement gracieusement dans les écoles, crèches, établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) ainsi qu’au collège et au lycée de Sèvres. Sur demande, l’association propose aussi ses services aux différentes associations sévriennes. Chaque année Les Conteurs de Sèvres organisent La fête du conte, une soirée contée pour les familles. La prochaine aura lieu en 2025. À chaque fois les recettes de cet événement payant sont redistribuées à une association caritative de Sèvres. Cette année, Les Conteurs de Sèvres ont pu récolter 615 euros au profit du Secours Populaire. Autre exemple, en 2019, ils ont donné de l’argent au conseil communal des jeunes pour l’aider à financer sa journée à la mer pour les familles sévriennes défavorisées.
Pour passionner les différents publics, Les Conteurs de Sèvres se forment de manière continue. Une fois par mois « L’atelier du lundi » qui se déroule à la Maison des associations de Sèvres permet de travailler sur un thème défini. Plusieurs fois dans l’année, des conteurs formateurs dispensent leurs conseils pendant deux journées complètes et les Conteurs de l’association se retrouvent souvent pour travailler ensemble les contes de chacun.
« Nous n’avons pas de livre car nous ne sommes pas là pour lire, mais pour transmettre oralement car c’est ainsi que le conte existe depuis la nuit des temps. Nous ne créons pas les contes mais nous nous inspirons des trames de récits existants pour les habiller à notre façon. Ainsi un conte ne sera jamais raconté de la même manière car cela variera en fonction de l’instant que nous vivons » explique Sonia Bohelay, la trésorière de l’association. Sans cesse à la recherche de nouveaux talents, elle confie :
« nous proposons aussi aux personnes intéressées de participer à une initiation qui se déroule un après-midi par mois. Celle-ci permet de travailler sur le conte et ses techniques. Les personnes peuvent ensuite assister à une ou plusieurs de nos interventions et nous rejoindre si elles le souhaitent. Il est encore possible de s’inscrire jusqu’à mi-novembre en sachant que cela demande une assiduité et un certain travail sur son temps libre ».
La grande histoire des Conteurs
Née en 1994 de la rencontre de plusieurs Sévriens qui avaient bénéficié de la formation gratuite au conte mise en place par l’ancien maire de Sèvres François Kosciusko-Morizet, l’association Les Conteurs de Sèvres s’est bien développée depuis. Marquée par des bénévoles comme Hélène Vermeulin ou Denise Benaquin, l’association sévrienne s’est aussi faite apprécier grâce à la création du Festival Graines de Conteurs, à ses interventions à la Maison de la Colline qui accueille des personnes défavorisées et à sa fête du conte.
Renseignements :
www.facebook.com/LesConteursdeSevres
https://sevres-associatif.fr/lesconteurs/
Tél : 06 95 42 81 95
Si la majorité des Sévriens ont entendu parler du poney club Brimborion, ils sont moins nombreux à connaître ses caractéristiques marquées par un état d’esprit particulier.
« Nous avons un savoir-faire lié à plus de 50 ans d’expérience. Nous détestons le poney mobylette qui consiste à monter sur un poney déjà sellé et à le laisser après une heure. Nous tenons à ce que les enfants soient vraiment au contact des animaux » confie passionné Philippe Audigé, le président du directoire de la coopérative de Brimborion SCIC.
Situé sur un terrain arboré de quatre hectares, le club accueille actuellement 1 200 cavaliers par semaine. Ceux-ci sont soit des particuliers, soit des enfants des écoles des environs, soit des enfants défavorisés ou handicapés venant d’instituts médico-éducatifs ou d’instituts médico-pédagogiques. En dehors des leçons classiques, pour permettre à tout le monde de s’initier ou de se perfectionner à l’équitation, le poney-club Brimborion organise aussi des stages à thèmes à la journée ou à la semaine à chaque vacances scolaires. Pendant ces périodes les enfants sont répartis par créneaux d’âges de 4 à 6 ans, de 7 à 10 ans et de 10 à 14 ans. Tout au long de l’année le poney club organise aussi des fêtes d’anniversaires pour les enfants, des petites randonnées et des jeux découverte. « Nous sommes sans arrêt en train de nous creuser la tête pour améliorer notre projet éducatif dans lequel le poney devient un compagnon d’apprentissage de la vie. Nous avons aussi à cœur de permettre à nos cavaliers de découvrir d’autres choses. Chaque année en février nous allons en Camargue. À Pâques nous les emmenons à l’hippodrome de Deauville pour contribuer à leur apprentissage de la vie et de la nature. C’est aussi important qu’ils comprennent le langage et les émotions des poneys » explique Philippe Audigé.
D’après sa direction, l’endroit où est implanté le poney club appartenait à la marquise de Pompadour au XVIIIe siècle. En 1970 Jean Laban décide de créer le premier poney club en milieu urbain et de l’installer sur la colline de Brimborion. C’est ainsi que le centre équestre voit le jour le 15 septembre 1970. Depuis il a connu de nombreux événements. Au milieu des années 80 il y a même eu une manifestation avec un défilé de poneys dans Sèvres car le club risquait de ne pas pouvoir rester dans ce lieu auquel il est attaché.
Après cette période compliquée le poney-club brimborion s’est étendu. À tel point qu’il a depuis ouvert le poney-club Montéclin à Bièvres, le centre équestre Vilvert à Jouy-en-Josas, le haras d’Oakland près de Senonches et depuis septembre le poney-club de Rueil-Malmaison. De quoi ravir les Sévriens qui souhaiteraient s’initier ou se perfectionner à l’équitation.
Renseignements :
Brimbo équitation
21, avenue de la Division Leclerc 01 46 26 31 20
https://www.brimborion.org/