Tribunes libres – Février 2025

Tribune de la majorité

Sèvres, une ville engagée pour le logement social

Les habitants des 143 logements sociaux du 99 Grande Rue et 10 avenue de l’Europe seront contents cette année. Les travaux tant attendus d’isolation de leur immeuble, de remplacement de leurs chaudières et de réfection de l’intégralité de leurs parties communes commenceront au mois d’avril. Ils dureront jusqu’en juin 2026 et le diagnostic de performance énergétique de l’immeuble passera ainsi de E à B pour la consommation d’énergie et de E à A pour les émissions de gaz à effet de serre. 7 437 718 euros sont investis pour cette réhabilitation de leur résidence, sur fonds propres du bailleur, Immobilière 3F, ou grâce à des prêts bancaires garantis par la Ville. De la même façon les habitants des 36 appartements des 92, 105 et 107 Grande Rue se réjouiront des travaux de rénovation énergétique qui seront entrepris par leur bailleur cette année. Au total, sur les 10 dernières années, 1 178 logements sociaux auront été rénovés à la fin de cette année 2025, le plus souvent grâce à des garanties d’emprunts octroyées par la ville aux bailleurs.
La ville ne s’engage pas seulement pour la réhabilitation des logements sociaux existants, elle s’engage également pour la construction de nouveaux logements. C’est ainsi que 25 nouveaux logements sociaux seront prochainement construits au 150, Grande Rue, 28 logements au
15-69 rue Pasteur, et 13 logements au 13 rue Diderot. En 2014, Sèvres était carencée en logements sociaux, elle devait s’acquitter d’une pénalité SRU. Il n’en est plus de même aujourd’hui grâce à l’engagement constant de la ville toutes ces dernières années. Aujourd’hui, notre objectif de mixité sociale qui rejoint celui de la loi SRU, est atteint. Nous nous en réjouissons.
Quant aux attributions de logements sociaux effectuées par la ville, elles étaient de 107 en 2024, de 105 en 2023 et de 125 en 2022. Rappelons que le Préfet et les bailleurs sociaux attribuent de leurs côtés la majorité des logements sociaux de la ville.
L’action de la ville en faveur des personnes sans domicile est également remarquable. Pour eux, notre « maison de la colline » est ouverte toute l’année sans interruption, 24h/24. Animée par une équipe de sept professionnels, elle propose un accueil d’urgence de 9 places (115). 96 personnes en ont bénéficié sur un an. Un accueil de jour y est également proposé avec un repas du midi (une vingtaine de personnes en bénéficient chaque jour) et la mise à disposition de douches et de machines à laver. 5 355 passages à l’accueil de jour ont été comptés en un an, soit 446 passages par mois. Enfin 7 places en chambre individuelle sont proposées pour un accueil de stabilisation et d’insertion, 12 personnes en ont bénéficié sur une année. Des consultations médicales (généraliste, kinésithérapeute et psychologue) y sont également assurées. Tout ceci avec les contributions financières indispensables de l’État et du département des Hauts-de-Seine et l’engagement constant des associations sévriennes de solidarité.

L’équipe de la majorité (29 élus non-inscrits ou membres de LR, du MoDem, de RE et de l’UDI)

Tribunes des oppositions

Groupe Sèvres en transition

Bilan social de la ville
En 2013, 7 personnes travaillaient pour gérer les aides sociales de la ville au sein du Centre communal d’action sociale. Aujourd’hui il n’y a plus que 5 emplois. En 10 ans, les besoins d’accompagnement des Sévriennes et des Sévriens ont-ils tant diminué ? En quelques années, le taux de pauvreté à Sèvres a augmenté, passant de 8 à 9 %. La ville ne détient certes pas toutes les compétences pour accompagner les personnes les plus fragiles, mais aujourd’hui elle s’en tient au strict minimum. Elle ne développe aucune stratégie locale et se borne à traiter au fil de l’eau, sans grande innovation. Le quotient familial n’est pas utilisé pour tous les services rendus à la population alors que les coûts augmentent et que beaucoup sont en difficulté.
À Sèvres comme ailleurs, les colis alimentaires, maraudes ou repas des anciens ne peuvent suffire à une politique de
développement social profitable à toute la population.
Nous avons encore pu le constater lors de la présentation du rapport social de l’année 2023. Si nous ne doutons pas un instant du dévouement des personnels de la ville et des associations spécialisées, force est de constater que leurs moyens d’actions se placent sous le signe d’un manque d’ambition et de volonté politique. Au vu des chiffres de l’Insee et en les comparant avec le nombre d’aides distribuées, on est loin du compte ! Ainsi, si une soixantaine de personnes de plus de 65 ans ont obtenu une allocation chauffage du fait de leur bas niveau de revenus, qu’en est-il des dizaines d’autres seniors qui vivent sous le seuil de pauvreté ? La majorité se vante de faire beaucoup pour les plus âgés, or elle promet depuis 2019 l’ouverture d’un espace seniors dont les travaux n’ont même pas débuté.
En matière de handicap, aucun bilan ni perspectives ne sont donnés sur l’accessibilité des bâtiments, des trottoirs ou des transports. Le contrat local de santé mentale se réunit une fois par an, mais quelles actions ont été entreprises pour améliorer l’offre de soins dramatiquement inexistante dans notre ville ? Le maire et sa liste promettaient l’ouverture d’une maison médicale pour l’été 2020. Après 5 ans, nous la cherchons toujours, comme de nombreux habitant-es qui peinent à accéder à des soins courants.
Si la Maison de la Colline permet d’héberger des hommes sans domicile fixe, aucune solution n’est apportée pour les femmes dans la même situation. Ce n’est pas une obligation pour une commune, mais est-ce une raison pour ne rien faire ? Nombre d’habitant-es sont en attente d’une solution de logement, seules 16 demandes ont été satisfaites par la ville en 2023. Là encore, la majorité municipale manque de volontarisme !
Les Sévriennes et Sévriens méritent plus d’attention !

Catherine Candelier, Jean Duplex, Anne-Marie de Longevialle Moulaï, Luai Jaff, Frédéric Puzin
www.facebook.com/Sevresentransition/

Pour Sèvres

Partout on dénonce la manipulation de l’information et les fake news qui affaiblissent notre démocratie. Le Sévrien de janvier 2025 en est l’exemple. Dans le dossier central, le maire présente des projets en mélangeant insidieusement ceux qui relèvent de la ville avec ceux du 92 ou du Grand Paris ! Un tiers du contenu rédactionnel sert à sa propre promotion en vue des municipales de 2026 quand nous ne disposons que de 6 lignes par numéro pour nos propositions. Cela fait plus d’un an que nous demandons en vain d’accéder aux études préalables au projet du centre-ville. Ce n’est pas notre conception de la transparence ni de la démocratie. Plus sur poursevres.fr

Denis Moron

Camille Corot : un maître de la peinture paysagiste

À l’aube de la seconde moitié du XIXe siècle, une époque où la révolution industrielle bouscule la société et où les arts commencent à se libérer des contraintes académiques, Camille Corot (1796-1875) fait figure de précurseur.

Un voyage à travers la nature

Né à Paris en 1796, Jean-Baptiste Camille Corot qui aurait pu suivre la voie familiale toute tracée du commerce et des affaires, choisit une autre route : celle de la peinture. D’abord formé aux Beaux-Arts, il trouve son élan créatif dans les paysages, et c’est en peignant ces scènes naturelles qu’il se distingue. Le paysage chez Corot n’est pas simplement une imitation de la nature. C’est un dialogue avec elle, une manière de capter l’instant fugace où la lumière éclaire les éléments naturels, où l’atmosphère se transforme, où la brume effleure l’eau. À travers ses toiles, il tisse des liens entre l’extérieur et le dedans, entre le visible et l’invisible.
Si ses premières œuvres s’inscrivent dans la tradition classique, il va peu à peu se laisser séduire par l’approche plus libre et plus lumineuse du plein air. De ses voyages en Italie, naissent des tableaux imprégnés d’une lumière chaude, d’un soleil éblouissant, et d’une atmosphère particulière. Mais ce qui le distingue des autres artistes de son époque, c’est sa capacité à capter les variations subtiles de la lumière. Il ne se contente pas de peindre la lumière, il en fait un personnage à part entière, omniprésent et changeant.

L’âme d’un artiste en quête de tranquillité

Résidant à Ville-d’Avray où ses parents possèdent une maison au 7, rue du Lac, Corot se consacre à l’étude du paysage et des sous-bois. Bordé par les bois de Fausses-Reposes et les étangs, le territoire est pour lui une source intarissable de paysages sereins et bucoliques. C’est aussi un territoire en pleine mutation avec le développement du train et de l’urbanisation des banlieues parisiennes.
Corot a également immortalisé notre ville. Avec son panorama sur la vallée de la Seine et ses collines boisées, Sèvres est en effet une source inépuisable d’inspiration. Dans son tableau, Le Chemin de Sèvres. Vue sur Paris, conservé au Musée du Louvre, Corot traduit avec délicatesse la beauté d’une nature à la fois domestiquée et sauvage, où les hommes semblent se diriger vers la capitale, noyée dans la brume. Dans un second tableau, intitulé La maison blanche de Sèvres (1872), conservé au Cincinnati Art Museum, Corot témoigne de l’existence de l’agriculture d’élevage à Sèvres. Au centre de ce paysage champêtre, un groupe de trois paysannes semblent s’entretenir à l’ombre de la forêt rafraîchissante. On y devine l’omniprésence de la nature.
Sèvres devient ainsi, pour Corot, un terrain d’expérimentation où il déploie toute la richesse de son talent pour capturer l’atmosphère si particulière de la seconde moitié du XIXe siècle. Ces vues de Sèvres, empreintes de sérénité, inscrivent Corot parmi les maîtres du paysage, et témoignent d’un artiste qui savait voir dans les scènes les plus ordinaires, une beauté universelle. Pour lui rendre hommage, les édiles de Sèvres donnèrent le nom de rue Corot à l’ancienne sente du Parc Centre, par délibération du Conseil municipal du 7 mai 1936.

La postérité d’un homme discret

Si Corot n’a pas joui, de son vivant, de la célébrité d’autres artistes comme Delacroix ou Ingres, son œuvre a traversé les époques avec une éclatante modestie. Il a su se faire une place dans l’histoire de l’art non par la grandeur de ses ambitions, mais par la profondeur de son regard et la douceur de son pinceau. Ses tableaux ont traversé les siècles, souvent admirés par des générations d’artistes, mais aussi par les collectionneurs, curieux de découvrir ces paysages baignés de lumière, souvent vus dans une atmosphère d’un calme paisible.
À l’heure de sa disparition en 1875, Camille Corot laisse derrière lui une œuvre en marge des grands mouvements artistiques de son époque, mais d’une force rare. Il est le peintre d’une époque en transition, celui qui a su introduire la modernité dans un genre souvent jugé comme trop académique?: le paysage. L’œuvre de Camille Corot est un hymne à la lumière, à la nature, à l’équilibre fragile du monde. Un art qui nous invite à prendre un instant pour nous arrêter, regarder, et savourer la beauté de ce qui nous entoure.

Africa : les arts premiers s’invitent au Sel

L’exposition « AFRICA : de la tradition à l’oeuvre d’art », qui se tient au Sel du 30 janvier au 11 février 2025, est l’événement culturel incontournable de ce début d’année à Sèvres. Organisée autour de la collection de Michèle et David Wizenberg, elle présente 120 œuvres provenant de diverses régions d’Afrique, notamment du Cameroun, du Nigeria et du Gabon. à travers dix espaces thématiques organisés autour du symbolique arbre à palabres, cette exposition veut mettre en lumière la créativité immense et le savoir-faire transmis de génération en génération dans les villages africains. Elle souligne l’importance de reconnaître l’individualité de ces artistes qui, malgré les contraintes des traditions, ont su apporter leur marque personnelle. Les pièces exposées ont des fonctions variées, allant des objets de pouvoir et de culte aux représentations de la maternité et de la féminité.

Ressentir l’œuvre avant de la comprendre

Si aujourd’hui les musées mettent principalement en avant, de façon pédagogique, les objets les plus représentatifs de chaque groupe culturel, le couple sévrien a préféré adopter une démarche centrée sur l’artiste et la qualité artistique de l’œuvre. L’invitation n’est donc pas d’apprendre intellectuellement mais de ressentir, de se laisser porter par son instinct dans une scénographie qui laisse libre cours à l’exploration. Les organisateurs souhaitent ainsi aider le visiteur à « se faire l’œil » sur ces œuvres d’une culture non familière, en mettant l’accent sur la découverte de « mains de maîtres » et leur capacité à transcender les normes traditionnelles.

Une passion de longue date

La collection des Wizenberg, constituée au fil des décennies, témoigne d’une passion profonde pour l’art africain et d’un engagement personnel envers sa reconnaissance. Michèle et David Wizenberg, tous deux diplômés en histoire de l’art de l’École du Louvre, ont développé des amitiés africaines dès les mouvements étudiants des années 1960. Leur approche repose sur des coups de cœur et une recherche d’œuvres d’artistes authentiques, même lorsque leurs noms ont disparu.

Au-delà de l’exposition

Pour enrichir l’expérience, une conférence animée par Michèle et David Wizenberg se tiendra le 8 février à 15h au Sel, offrant un aperçu approfondi de leur parcours, de leur passion et des récits fascinants qui entourent leur collection. Cette présentation donnera des explications détaillées sur les œuvres exposées, mettant en lumière la richesse et la diversité de l’art africain.

Cet événement est également une aventure familiale, leur fille Ira
Wizenberg ayant conçu l’ouvrage qui accompagne l’exposition. Ce livre raconte leurs découvertes, leurs émotions, et met en avant les 120 œuvres qui les inspirent depuis des décennies. Il est disponible à la vente lors de la visite, permettant de prolonger l’immersion artistique et culturelle.

Célébration de l’art et de l’humanité rivalisant avec les plus belles collections du monde, unissant passion familiale, talent artisanal et savoir-faire séculaire, cette exposition est une expérience à ne pas manquer !

« L’histoire doit se raconter en permanence »

Comment est née l’envie de ce livre ?

Mon père a été déporté dans le camp de concentration d’Auschwitz par le premier convoi parti de France. Je disposais de documents qu’il a écrit à partir du lendemain de sa libération en septembre 1945. Ils sont restés inexploités pendant près de 60 ans. Dans un premier temps je voulais que l’engagement de mon père soit connu de mes enfants et descendants. Petit à petit s’est imposée l’idée qu’il fallait vulgariser son témoignage de manière plus large et importante car il contenait des informations essentielles pour établir la vérité de ce qu’a été l’extermination
à Auschwitz.

Avez-vous imaginé un roman à partir de ces documents ?

Non et ce n’est pas non plus une fiction. C’est un témoignage brut et simple de ce que mon père a vu et subi à Auschwitz. Avec Alban Perrin, l’historien qui m’a assisté dans l’écriture de cet ouvrage, nous avons reproduit l’intégralité des documents initiaux en y ajoutant des notules explicatives dissociées du texte.

Qu’est-ce qui vous a incité à solliciter l’appui d’un historien ?

Quand j’ai ouvert la boîte à chaussures qui contenait les cahiers de mon père, j’ai découvert qu’ils étaient écrits en polonais et je souhaitais que la dimension historique soit validée.

Pourquoi ajoutez-vous des notules ?

Nous nous sommes rendus compte que les publier tel quel n’était pas suffisant pour les personnes n’ayant pas de culture historique et les jeunes générations. Ensuite, nous nous sommes dit qu’il fallait éclairer le sujet de manière plus complète en mettant en perspective le parcours de mon père qui n’a quasiment pas vécu en France. Né en Pologne, il est parti combattre en Espagne, a été parqué dans un camp d’internement des Pyrénées avant d’être interné à Drancy, ce qui fait qu’il est considéré comme un déporté de France. Le livre se termine par une réflexion sur la manière dont enfant j’ai pris conscience de ce qu’avaient enduré mes parents. Ils m’ont préservé et se sont reconstruits après la guerre.

Avez-vous l’impression que la Shoah est en train d’être oubliée ?

Non, mais l’histoire doit se raconter en permanence parce que l’oubli est quelque chose de terrible dans notre société. On pense tirer les enseignements d’un certain nombre de situations du passé et on s’aperçoit que c’est un éternel recommencement… Tout le monde pensait que la monstruosité de la Shoah ferait que ça ne recommencerait jamais. Depuis, bien des drames se sont produits partout sur la planète. Nous ne sommes donc pas à l’abri d’un recommencement sous une forme différente, s’appliquant aux juifs ou à d’autres populations. Il faut sans arrêt se rappeler le « Plus jamais ça » qui était le cri des déportés au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

Rencontre avec Roger Fajnzylberg

Notez bien cette date dans vos agendas : lundi 10 février à 20h

Roger Fajnzylberg sera présent au SEL pour une rencontre dédicace. Une occasion unique de discuter avec lui de son livre Ce que j’ai vu à Auschwitz, les cahiers d’Alter qui vient de paraître aux éditions du Seuil.

Premier Urban Trail à Sèvres : inscrivez-vous dès maintenant !

Des parcours pour tous les niveaux

L’Urban Trail de Sèvres propose plusieurs boucles adaptées à tous les niveaux et les envies. Que vous soyez un coureur aguerri ou un marcheur occasionnel, vous trouverez le parcours qui vous convient ! Les distances varient de 1 km à 14 km, permettant à chacun de choisir le défi qui lui correspond le mieux. Les familles avec enfants sont également les bienvenues, avec des parcours spécialement conçus pour les plus jeunes (1 et 2 km).

Un parcours au cœur de la ville

Qui dit trail dit découverte de la ville, des espaces naturels qui la composent et … dénivelé ! Les participants auront l’opportunité de traverser des lieux emblématiques de Sèvres, tels que le parc de Brimborion, le stade des Fontaines, la Chataigneraie, la pagode Chùa Tinh Tâm pour terminer par le pavillon Lully de France Éducation Internationale. Ce trail urbain est une invitation à redécouvrir la ville tout en relevant un véritable défi sportif que constituent les 160 m de dénivelé positif par boucle effectuée. Les parcours sont balisés et sécurisés, avec un point de ravitaillement central rue Camille-Sée (n’hésitez pas à venir avec votre propre gobelet ou gourde, pour limiter les déchets !)… tous les ingrédients seront réunis pour faire de cette première édition un succès !

4 courses pour satisfaire tous les sportifs
– 1 km pour les 6-10 ans (2 €)
– 2 km pour les collégiens 11-15 ans (2 €)
– 7 km avec 160 m de dénivelé positif (12€ jusqu’au 28 février, puis 15€)
– 14 km (2 boucles de 7 km) avec 320 m de dénivelé positif (20€ jusqu’au 28 février, puis 25€)

Un événement convivial et festif

Au-delà de l’aspect sportif, l’Urban Trail de Sèvres se veut un moment de convivialité et de partage. Des animations musicales seront proposées tout au long du parcours, avec des stands de restauration, des activités, notamment pour les enfants dont les parents participeront à l’une des épreuves et un échauffement des coureurs en musique des différentes courses assuré par Dynamic Sèvres.

Participez à une bonne cause

En participant à l’Urban Trail de Sèvres, vous soutenez également une bonne cause. La totalité des bénéfices de l’événement sera reversée au Relais Sévrien, association caritative de la Ville. Courir pour soi, c’est bien, mais courir pour les autres, c’est encore mieux !
Ne manquez pas cette occasion de faire partie de cette première édition de l’Urban Trail. Que vous soyez un sportif confirmé ou un amateur, seul ou en famille, venez nombreux pour partager ce moment sportif et convivial. Inscrivez-vous dès maintenant et préparez-vous à vivre une expérience inoubliable !

Inscriptions ouvertes

Les inscriptions pour l’Urban Trail de Sèvres sont désormais ouvertes ! Les frais d’inscription comprennent un dossard, une puce de chronométrage, le ravitaillement et une médaille. Les places étant limitées, il est conseillé de s’inscrire rapidement pour garantir votre participation et bénéficier des 1ers tarifs valables jusqu’au
28 février (inscription jusqu’au 4 avril 2025).

Renseignements :

Dimanche 6 avril 2025
Départ depuis la rue Camille-Sée, à partir de 9h

Je m’inscris !

Permanence numérique les vendredis matin

L’Espace Seniors, propose une permanence numérique gratuite tous les vendredis matin de 9h30 à 12h30, sur rendez-vous à l’Hôtel de ville.
Pendant cette matinée, le conseiller vous reçoit individuellement pendant 30 minutes.
Prise en main d’une tablette ou d’un ordinateur, création et utilisation d’une boîte mail, gestion de dossier, document ou photos, découverte de sites administratifs, les seniors peuvent poser toutes les questions nécessaires et ainsi bénéficier d’une aide et d’explications. Chacun peut progresser à son propre rythme, éliminant ainsi toute appréhension
envers la technologie.

Renseignements :

Gratuit

Espace Seniors
Hôtel de ville – 54, Grande Rue
Tél. 01 41 14 11 36

Seniors : inscrivez-vous pour vos prochaines sorties 2025

Séjour varois  – du 17 au 24 mai
Entre mer et montagne, découvrez ses villages pittoresques, ses marchés animés et sa cuisine ensoleillée.
Tarif : se renseigner auprès de l’Espace Seniors – Voyage tout inclus
Inscriptions en cours
Nombre de places limité

Thé dansant – dimanche 6 avril au Sel
Gratuit
Inscriptions à compter du 3 février
Nombre de places limité.

Verrerie d’art de Soisy-sur-École – jeudi 6 mars
Admirez la finesse du travail des souffleurs de verre et savourez un déjeuner au lycée hôtelier du château des Coudraies.
Tarif : 36 € par personne
Transport et déjeuner inclus.
Inscriptions du 10 au 14 février
Nombre de places limité.

Renseignements :

Espace Seniors
Hôtel de ville – 54, Grande Rue
Tél. 01 41 14 11 36

Rendez-vous au Sel pour le Forum Giga Senior

Le vendredi 14 mars 2025, de 13h30 à 18h, la Rotonde du Sel accueillera le Forum Giga Senior. Gratuit et ouvert à tous, ce salon propose une trentaine de stands dédiés à la santé, au bien-être et à la vie quotidienne des seniors, mais aussi à leurs familles et aidants.

Un événement pour les seniors et leurs proches

Organisé par l’Espace Seniors en collaboration avec l’Institut des Hauts-de-Seine, le Forum Giga Senior s’adresse à tous ceux qui souhaitent préparer ou améliorer leur retraite. Avec plus de trente stands, cet événement offre une réponse complète aux préoccupations des seniors, qu’il s’agisse de santé, de bien-être ou d’organisation du quotidien. Un espace convivial avec thé et café sera également aménagé pour permettre aux visiteurs de se détendre.

Un programme riche et varié

Les visiteurs pourront profiter :

  • Santé : dépistages (diabète, cholestérol, vision, audition) et consultations médicales (généralistes, cardiologues, dentistes).
  • Bien-être : massages, soins esthétiques, coiffures rapides.
  • Vie quotidienne : conseils sur la retraite avec la CNAV, aides juridiques et adaptation du logement.
Une initiative pour créer du lien social

En rassemblant des acteurs locaux, comme des associations, des services sociaux et des professionnels de santé, ce forum permet non seulement de répondre aux besoins des seniors, mais aussi de renforcer les échanges et le lien social au sein de la commune.

« Ce forum est une chance pour tous ceux qui souhaitent s’informer sur leur santé, leur bien-être et leurs droits. Nous invitons les seniors et leurs proches à venir nous rejoindre à la Rotonde du Sel pour découvrir les nombreux stands et profiter des conseils personnalisés. Et si vous avez besoin d’informations complémentaires, l’Espace Seniors de la Ville de Sèvres reste à votre disposition pour vous orienter. »

 

Pascale Parpex
Adjointe aux Seniors et au Grand âge

Renseignements :

Vendredi 14 mars 2025
de 13h30 à 18h
Rotonde du Sel
Entrée libre

Espace Seniors : 01 41 14 11 36

Avec l’esc@le, Parcoursup n’aura plus de secret pour vous !

À Sèvres, les 12-30 ans, dont les lycéens, ont la chance d’avoir une structure d’information jeunesse, l’esc@le, qui leur est entièrement dédiée et qui leur offre un accompagnement personnalisé dans les démarches sur Parcoursup :

  • Explications des différents parcours et des modalités de la formation initiale, les différentes offres de formations post-bac, les voies alternatives, l’année de césure…
  • Affiner leur projet d’orientation à l’aide d’outils numériques, identifier des domaines d’apprentissage possibles et vérifier la faisabilité en fonction de leur profil.
  • Y voir plus clair sur les différentes phases et les différents items de la plateforme Parcoursup : comment bien définir ses vœux, les écueils à éviter, comment valoriser sa candidature, comment rédiger son projet motivé / lettre de motivation, la prise en main de la « carte d’identité » des formations, l’utilisation du simulateur des chances d’admission, le classement des vœux en attente, l’inscription des étudiants étrangers, l’inscription aux formations hors Parcoursup, les modes de sélection de certaines formations, les coûts, la préparation aux entretiens… (les agents de l’esc@le suivent une formation annuellement afin d’être formés sur les différents items / évolutions des modalités de la plateforme).

En parallèle, l’esc@le peut accompagner les jeunes pour l’ouverture du Dossier Social Etudiant (DSE), dans le cadre duquel les demandes de bourse et de logement sont à effectuer sur la période de mars à mai.

Parcoursup :
Les vœux sont à renseigner jusqu’au 13 mars 2025

Plus d’information à l’esc@le
51, Grande Rue
92310 Sèvres
01 41 14 12 20
lescale@ville-sevres.fr

Seniors : atelier numérique gratuit avec le Conseil Communal des Jeunes

C’est parce qu’il est très difficile, voire impossible, de se passer d’un ordinateur, d’une tablette ou d’un téléphone portable aujourd’hui, que le Conseil Communal des Jeunes, en partenariat avec l’Espace seniors, organise de nouveau un atelier numérique gratuit à destination des seniors âgés de plus de 60 ans.
Samedi 8 février 2025, les jeunes du CCJ seront présents au salon Saint-Omer pour accueillir de 10h à 12h, les seniors qui souhaitent mieux appréhender leurs outils informatiques que sont les ordinateurs, smartphones, tablettes, etc. Il est demandé de les apporter.
Au-delà de l’aspect pratique, cet atelier a également vocation à créer du lien intergénérationnel. Une belle initiative portée par le Conseil Communal des Jeunes !

Renseignements :

Atelier numérique
Samedi 8 février de 10h à 12h
Gratuit sur inscription auprès de l’Espace seniors au 01 41 14 11 36 ou par mail à espace.seniors@ville-sevres.fr