Le centre hospitalier des Quatre Villes : un siècle et demi d’histoire au service de la santé publique

Le centre hospitalier des Quatre Villes situé depuis son origine au 141, Grande Rue, est l’héritier d’une longue histoire, remontant au milieu du XIXe siècle. À travers les transformations successives, de l’Hôpital Saint-Jean à l’établissement actuel, il a su évoluer pour répondre aux besoins de la population et s’adapter aux défis modernes. À l’occasion de l’inauguration prochaine d’un centre d’imagerie de pointe, les Archives reviennent sur les principales étapes de cette évolution.

La compagnie des Filles de la Charité de l’hôpital Saint-Jean

Dès 1786, le Roi Louis XVI, autorise l’installation des Filles de la Charité pour s’occuper d’une population de plus en plus nombreuse. Mais il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour que la municipalité déclare d’intérêt public, la création d’un véritable hôpital. Ce projet naît grâce à une souscription publique et la générosité de nombreux donateurs dont le fondateur de la Brasserie de la Meuse, Jean-Baptiste Reinert. Agrandi en 1865, l’hôpital-hospice Saint-Jean-Baptiste comportait 24 lits avec deux médecins, une infirmière et cinq sœurs.
En 1875, une religieuse, Madame Rivory, lègue sa propriété pour la création d’un orphelinat destiné aux jeunes filles, sous la direction des Filles de la Charité. Ce legs marqua le début de plusieurs décennies d’activité hospitalière et sociale : un hôpital pour les malades, un hospice pour les personnes âgées et un orphelinat. Au fil des années, une chapelle est construite, puis un bloc chirurgical et une crèche. Mais en 1962, la loi interdit la cohabitation des orphelins avec les malades, entraînant la fermeture de l’orphelinat de jeunes filles, avant le départ définitif des
religieuses trois ans plus tard.

Le CHI Jean-Rostand : une nouvelle ère intercommunale

En 1967, le Syndicat intercommunal pour l’équipement sanitaire et social du canton de Sèvres a pour mission la construction et le financement d’un nouvel hôpital et d’une maison de retraite, dont la construction marque le début d’une nouvelle ère pour l’établissement. En 1970, les bâtiments vieillissants de l’Hôpital Saint-Jean sont démolis pour faire place à un établissement moderne répondant aux normes sanitaires et aux besoins de la population.
Du premier hôpital, il reste une grotte dédiée à la Sainte-Vierge, discrètement logée sur un petit promontoire au fond du jardin, côté Grande Rue.
Le nouvel hôpital et la maison de retraite sont inaugurés en 1974.
Il est alors baptisé hôpital Jean-Rostand, fils du dramaturge Edmond Rostand, en hommage aux travaux scientifiques du célèbre biologiste et académicien. Le centre hospitalier devient intercommunal en 1980, incluant Sèvres, Chaville et Ville-d’Avray dans son périmètre d’action. En 1994, l’accueil de jour de Sèvres, deviendra l’un des premiers du département à proposer des services de soutien pour les personnes âgées.

Le centre hospitalier des Quatre Villes : vers l’avenir

Le tournant du XXIe siècle marque une nouvelle étape pour l’hôpital.
En 2006, le centre hospitalier Jean-Rostand fusionne avec celui de Saint-Cloud, une étape importante qui permet de rationaliser et d’améliorer les services offerts.
La reconstruction de la maison de retraite EHPAD Jean-Rostand permet d’améliorer les conditions de vie des aînés. Cette période est également marquée par la pandémie du COVID et la mise en place d’une maison de santé en 2020.
L’ère moderne du centre hospitalier des Quatre Villes se caractérise par une volonté d’améliorer la qualité des soins et d’élargir son champ d’action. En 2015, les services de maternité et d’urgences des différents sites sont regroupés sur le site de Saint-Cloud. Depuis fin mars 2025, un centre d’imagerie médicale, offrant des services de scanner et d’IRM, est venu renforcer l’offre de soins à Sèvres. Aujourd’hui, le centre hospitalier des Quatre Villes, qui regroupe 600 lits et plus d’un millier d’agents médicaux ou non, est un acteur majeur de la santé publique locale.

Urban trail de Sèvres : une première édition couronnée de succès

Sportif, festif et solidaire : le tout premier Urban trail de Sèvres, organisé le 6 avril dernier, a rassemblé 500 coureurs, petits et grands dans une ambiance conviviale. Courses, animations musicales, street art et solidarité… Retour sur une matinée pleine d’énergie, de sourires
et d’émotion.

Une ville à (re)découvrir… en courant

« C’est parti pour une belle matinée ! Vous allez découvrir le patrimoine de la ville, courir par un beau temps, et il y aura des surprises et de la musique tout au long », lançait Philippe Hazard, adjoint au sport, au départ de l’événement.
Dès 9h, ce sont les enfants qui ont donné le coup d’envoi de la journée :
65 petits coureurs sur 1km, 35 collégiens sur 2 km. À 10h, place aux adultes : 200 participants sur 7 km et 200 autres sur 14 km.
Le parcours, pensé comme une boucle traversant la rive gauche de la ville, a emmené les traileurs à travers des sites emblématiques du patrimoine sévrien : le square Carrier-Belleuse fraîchement rénové, le parc de Brimborion, le stade des Fontaines, la Châtaigneraie, la pagode Tinh Tam, et même le pavillon Lully de France Éducation International, ouvert exceptionnellement pour l’occasion.
« Super course ! On s’est éclatés. Le parcours était varié, les côtes étaient dures… mais c’est ce qu’on cherchait. Très belle organisation, à refaire ! » témoigne une Sévrienne.

Une ambiance festive…

Tout au long du parcours, la SUM a assuré l’ambiance musicale en live. Pour accueillir les coureurs et les encourager, le Conseil Communal des Jeunes a participé à la remise des dossards, des médailles et aux ravitaillements, tandis que la Croix-Rouge veillait à la sécurité avec les forces de l’ordre et les équipes municipales.
Le street artist Seb James, bien connu à Sèvres, a réalisé pour l’occasion un cube décoratif monumental, reprenant le logo du trail et les monuments du parcours.
Côté échauffement, c’est l’association Dynamic Sèvres qui a lancé la matinée avec énergie et bonne humeur, dans une ambiance joyeuse et motivante.
« C’est la première année que la Ville organise un tel événement. Je suis
venue avec mes deux filles et des amis. L’ambiance est très familiale, conviviale, et ça renforce les liens entre Sévriens ! »
Tous les traileurs sont repartis avec une médaille, et les adultes ont reçu une bière artisanale brassée à Sèvres par Rive Droite – Rive Gauche, incluse dans l’inscription.
« Que demander de plus ? Une médaille, une bière, du soleil, et une ville en fête », souriait un participant.

Une course solidaire

L’Urban trail de Sèvres, c’était aussi une course pour la solidarité. L’intégralité des inscriptions, soit 7100 €, a été remise à l’association caritative Le Relais Sévrien par le maire Grégoire de La Roncière, Philippe Hazard et le président de l’association, Nicolas de Turckheim.

Rendez-vous en 2026 !

Les sourires étaient nombreux à l’arrivée, les souvenirs gravés dans les jambes… et dans les cœurs. Rendez-vous est déjà pris pour la deuxième édition de ce trail 100 % sévrien !

« La 1re édition de l’Urban trail de Sèvres s’est déroulée dans des conditions idéales dimanche 6 avril dernier et beaucoup de Sévriens y ont assisté, y compris devant leur habitation ou à leur balcon pour encourager les sportifs !
Nous avons atteint nos 3 objectifs :
– un défi sportif, réalisé aussi en famille (de l’aveu de certains coureurs entraînés le parcours n’était pas facile), avec 500 personnes inscrites (nous avons même dû refuser des inscriptions la dernière semaine) ; le tout sur fond musical varié (classique, métal, rock…) grâce à nos amis de la SUM
– la découverte du patrimoine de Sèvres, en particulier le pavillon Lully que très peu de coureurs connaissaient ; un grand merci à France Éducation International de nous avoir exceptionnellement ouvert ses portes !
– et bien entendu le soutien à une association sévrienne via la remise d’un chèque significatif de 7100 € au Relais Sévrien qui était très heureux de ce don qui va servir immédiatement et concrètement aux personnes sévriennes dans le besoin.
Devant l’engouement autour de cet événement, nous avons décidé de le pérenniser, et sa 2e édition se déroulera début avril 2026 !
Merci à tous les participants, au service des sports, aux bénévoles, aux associations et agents de la ville, et à tous nos partenaires qui ont permis le succès de cet événement ! »

Philippe Hazard
Maire-adjoint délégué au Sport

Ils ont dit…

« Je cours avec mes deux filles, 7 et 9 ans. On est venus avec des amis, parents et enfants. C’est hyper convivial, et super que la Ville organise ça.»

« J’habite à Puteaux, je suis venue en courant et
en Vélib’. J’adore les courses de proximité. Et puis j’avais envie de soutenir une première édition : c’est toujours un défi de se lancer ! ».

« En tant que traileur à Sèvres, ça fait des années qu’on l’attendait. On n’osait pas le demander, et aujourd’hui, on l’a ! Bravo à toute l’équipe. »

L’Urban trail en quelques chiffres
  • 1re édition
  • 500 participants
  • 4 courses : 1 km – 2 km – 7 km – 14 km
  • 160 m de dénivelé positif pour le 7 km
  • 7100 € reversés au Relais Sévrien
  • Plus de 40 bénévoles mobilisés

Dans les bureaux du Président de la République

Le 18 mars dernier, 26 membres du Conseil Communal des Jeunes ont pu visiter le palais de l’Élysée grâce au dispositif des visites citoyennes.

Les ors de la République n’ont plus de secret pour les 26 conseillers jeunes du CCJ. Ils ont en effet pu visiter le palais de l’Élysée lors d’une visite guidée de plus d’une heure, accompagnés de Grégoire de La Roncière, maire de Sèvres, de Nadia Idorane, conseillère municipale déléguée au Conseil Communal des Jeunes et organisatrice de cette visite et de Marlène Da Silva, conseillère municipale. Dans le cadre du parcours citoyen, ces visites offrent aux jeunes une ouverture sur la vie de l’État et de ses institutions : mairies, Assemblée nationale, Sénat… pour mieux en appréhender les rouages.
Les jeunes ont eu accès au premier étage de l’Élysée, avec notamment le salon des Ambassadeurs où se tient le conseil des ministres, et la verrière. Ils ont pu y voir de nombreuses œuvres et meubles d’art et surtout comprendre le fonctionnement de cet endroit grâce aux explications du guide.

Un coin de nature à (re)découvrir : le jardin des Cent-Gardes

Installé en plein centre-ville, sur le toit du gymnase des Cent-Gardes, ce jardin partagé est un véritable îlot de verdure suspendu. Géré collectivement par des habitants bénévoles, il propose un espace de culture, d’échange et de sensibilisation à la biodiversité en milieu urbain. Chaque année de mai à septembre, le jardin des Cent-Gardes ouvre ses portes au public lors de permanences conviviales, un samedi et un dimanche par mois.
L’occasion de découvrir ce lieu unique, d’échanger sur la nature en ville, de se renseigner sur les modalités d’inscription pour rejoindre le jardin… et de repartir avec une petite attention végétale.
Ces rendez-vous s’inscrivent dans le cadre du réseau de jardins partagés de Sèvres, accompagnés par l’association Espaces et qui regroupe trois lieux : le jardin de Bonnefous, celui des Bruyères et celui des Cent-Gardes. Leur vocation : favoriser la végétalisation urbaine, encourager les pratiques écologiques et renforcer les liens entre habitants autour d’un projet commun.

Les permanences du jardin des Cent-Gardes

  • Samedi 3 mai
  • Dimanche 18 mai
  • Samedi 7 juin
  • Dimanche 22 juin
  • Samedi 6 septembre
  • Dimanche 21 septembre

Horaires : 10h30–12h30 / 14h–16h
Entrée par la Grande Rue

Une ouverture exceptionnelle est également envisagée le dimanche 25 mai, à l’occasion du 13e marché d’art de Sèvres

L’ONF à Sèvres : concilier gestion forestière et préoccupations environnementales

La gestion de la forêt de Meudon est un exercice d’équilibre délicat. Pour préserver cet espace naturel cher aux Sévriens, l’Office National des Forêts déploie une stratégie alliant coupes programmées, régulation de la faune et sensibilisation du public.

Coupes forestières : une nécessité pour la santé de la forêt

L’ONF rappelle que les coupes d’arbres sont indispensables à la gestion durable de la forêt. En mars 2025, des coupes d’ouverture de chemins
d’exploitation et des coupes en futaie irrégulière sont prévues sur plusieurs parcelles situées en partie sur le territoire de Sèvres. Ces interventions visent à diversifier les essences, à favoriser la régénération naturelle et à améliorer la résistance de la forêt face aux aléas climatiques. Elles permettent également d’assurer la production de bois, une ressource renouvelable et essentielle à de nombreuses industries. Pour répondre aux attentes des usagers, l’ONF a adapté sa gestion depuis 2017 en mettant en place une sylviculture spécifique dans les forêts d’Île-de-France : la sylviculture mélangée à couvert continu (ou futaie irrégulière).

Régulation du chevreuil : un enjeu d’équilibre

La question de la régulation du chevreuil est sensible. En trop grand nombre, chevreuils et sangliers compromettent le renouvellement de la forêt en broutant ou en détruisant les jeunes pousses. L’ONF met en œuvre des plans de chasse, en concertation avec les acteurs locaux, afin de maintenir un équilibre entre les populations de cervidés et la capacité d’accueil de la forêt. Ces plans sont soumis à l’approbation des autorités préfectorales.

Chiens en forêt : des règles à respecter

Les chiens en forêt représentent un danger pour la faune sauvage, particulièrement au printemps, période de reproduction. La forêt accueille de nombreuses espèces, dont certaines classées sur la liste rouge des espèces protégées en France, des règles sont donc à respecter sous peine d’amende. En forêt une interdiction de divagation est en place, signifiant qu’un chien doit impérativement rester sous la surveillance de son maître et ne pas s’éloigner à plus de 100 mètres. Du 15 avril au 30 juin, pendant la période de reproduction, la laisse devient obligatoire en dehors des allées forestières. Des contrôles sont régulièrement effectués par les agents de l’ONF et les forces de l’ordre.

Charte du promeneur : les bonnes pratiques à adopter

L’ONF a élaboré une charte du promeneur, qui rappelle les gestes simples pour profiter de la forêt tout en la respectant. Déchets, feux, cueillettes, sentiers, zones de chasse, faune sauvage, bois mort, chantiers forestiers, tas de bois, animaux de compagnie, cyclistes et cavaliers, véhicules à moteur, bivouacs et camping sauvage, vivre ensemble, conseils avant de partir en balade… autant de sujets abordés avec force recommandations, risques encourus et quizz instructifs. À télécharger sur onf.fr
La gestion de la forêt de Meudon est un exercice d’équilibre délicat, qui nécessite de prendre en compte les enjeux environnementaux, économiques et sociaux. L’ONF, en tant que gestionnaire de cet espace, a la responsabilité de concilier ces différentes exigences, tout en veillant à préserver la qualité de vie des Sévriens.

En forêt je…

  • reste sur les sentiers : cela permet de limiter le piétinement de la végétation et préserve la tranquillité de la faune.
  • maîtrise mes déchets : il est essentiel de ne rien laisser derrière soi en forêt. Les poubelles ont été supprimées car les animaux, en les fouillant, se blessaient ou s’étouffaient.
  • respecte la faune et la flore : ne pas cueillir de fleurs sauvages, ne pas déranger les animaux, ne pas faire de feu…
  • suis attentif aux autres : partager l’espace de la forêt dans le respect des différentes pratiques (détente, sport, cueillette, chasse, activités artistiques…).

Santé : du nouveau à Sèvres

Même si la santé ne relève pas de la compétence d’une ville, l’offre d’accès aux soins des Sévriens reste un sujet prioritaire pour vos élus. Ces derniers travaillent depuis des années maintenant pour faciliter, accompagner et soutenir le développement de centres de santé à Sèvres avec pour objectif de rendre plus simple le parcours des patients sévriens.

Dans ce dossier, nous vous présentons successivement quatre projets sévriens de « santé ». En premier lieu, le tout nouveau centre d’imagerie médicale qui a ouvert ses portes au 4 rue du Parc Cheviron. En second lieu, la rénovation complète de « l’hôpital de Sèvres », d’ores et déjà lancée et programmée, du rez-de-chaussée au 6e étage, à raison d’un niveau par an jusqu’en 2029. Vous sont ensuite présentés la future maison de santé qui accueillera trois médecins généralistes et une autre profession paramédicale à compter du printemps 2026 et le futur centre Erasme dévolu à la pédopsychiatrie et qui ouvrira ses portes au premier semestre 2026 dans la galerie du Théâtre. Ces quatre réalisations sont de grandes avancées pour Sèvres, nous pouvons nous en réjouir collectivement.

Un nouveau centre d’imagerie médicale vient d’ouvrir

Depuis le 31 mars, le CIMOP (Centre d’Imagerie Médicale de l’Ouest Parisien) a ouvert ses portes aux patients de Sèvres et des villes voisines. C’est au cœur de 600 m² de locaux intégralement rénovés, situés au rez-de-chaussée du Centre Hospitalier des Quatre Villes, site de Sèvres qu’une équipe de 10 radiologues pluridisciplinaires accueillent chaque jour les patients pour passer IRM, radiographies, échographies, panoramique dentaire ou encore des examens ciblés dans un pôle spécialement dédié à l’imagerie de la femme (échographie-mammographie), dans une aile plus confidentielle. L’installation d’un scanner est attendue prochainement.
De surcroît, les villes de Sèvres, Chaville et Ville d’Avray ont investi ensemble 300 000 euros via le SICESS pour la mise en accessibilité de
l’entrée extérieure du 4 rue de Parc Cheviron commune à l’hôpital, au
CIMOP et à la future maison de santé (élévateur pour PMR, sas d’accès…).
Ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 19h, il est désormais possible d’obtenir un rendez-vous près de chez vous et réaliser vos examens sur des machines dernière génération.

CIMOP
4 rue du Parc Cheviron
Prise de rendez-vous au 01 41 12 81 90 ou sur Doctolib

Avant l’ouverture du CIMOP, les patients devaient parfois aller très loin pour réaliser leurs examens d’imagerie, précise la direction. Depuis le 31 mars, ils peuvent aisément prendre rendez-vous en nous appelant ou en se rendant sur le site internet du centre ou sur Doctolib et obtenir un rendez-vous rapidement et beaucoup plus proche de leur domicile. C’est un réel atout pour une ville comme Sèvres de pouvoir accueillir des centres comme le nôtre.

La rénovation complète du Centre hospitalier des Quatre Villes

Les derniers travaux réalisés au CH4V de Sèvres remontaient à près de 15 ans et n’avaient porté à l’époque que sur des éléments extérieurs. Les spécialités hospitalières présentes à Sèvres subissent chacune une très forte demande, à savoir la gériatrie et l’addictologie. Cette dernière est l’une des priorités de santé publique et concerne un public de plus en plus jeune., Sèvres possède l’un des centres les plus développés sur le sujet en Île-de-France, en termes de lits d’hospitalisation notamment. Chacune de ces spécialités a besoin de locaux rénovés pour travailler, recevoir, héberger et soigner. C’est l’une des raisons pour lesquelles il a été décidé de restructurer le site hospitalier de Sèvres.

Des travaux au bénéfice des patients…

L’un des objectifs poursuivis avec ce programme de travaux est d’améliorer le confort des patients. Au-delà de la qualité des soins qui reste une priorité, une attention particulière est portée sur le confort hôtelier, acoustique, en priorisant les chambres individuelles quand cela est possible. «Il n’est pas prévu de création de lits supplémentaires car nous privilégions la qualité de l’accueil de nos patients», ajoute Hubert de Beauchamp, directeur du centre hospitalier.

…et des professionnels de santé

Pour bien soigner, il est essentiel d’avoir des équipes complètes qui bénéficient d’une bonne qualité de vie au travail. Après les années COVID et le désamour pour les professions de santé, il est d’autant plus important de pouvoir attirer et permettre aux professionnels de travailler dans des conditions optimales. Cela passera par une réflexion commune avec l’école sévrienne de design STRATE, dont une promotion de 4e année imagine actuellement les futurs espaces dédiés aux patients et aux professionnels.
Ces travaux de grande ampleur concerneront également des mises aux normes techniques et l’optimisation logistique des étages afin d‘éviter des déplacements chronophages aux soignants. Il a notamment été identifié un besoin de modernisation des circuits de matériel, des espaces de stockage et de livraison.

Un chantier sur 5 ans en maintenant l’hôpital ouvert

Les travaux se dérouleront sur une durée totale de 5 ans, avec le challenge de ne pas fermer l’établissement pendant la période. L’un des étages qui avait été neutralisé en raison du manque de personnel servira d’étage « tiroir » et permettra de moduler les services au fur et à mesure de l’avancée du chantier. « Cette opération de rénovation complète prendra environ 9 mois par étage, ce qui explique la durée longue du chantier » complète le directeur de l’hôpital, Hubert de Beauchamp.
Un peu en avance sur la restructuration en elle-même, qui ne sera visible qu’à partir de 2026, un jardin thérapeutique va être créé dès cette année dans les espaces verts de l’hôpital. Une façon de rendre le séjour de nos patients et de leurs proches plus agréable et d’y expérimenter des espaces de déambulation, de rééducation et des zones plus créatives.

Un partenariat fort avec la mairie

Comme pour l’ensemble des projets santé de Sèvres, la municipalité a apporté son soutien auprès des organismes de tutelle, afin de rappeler notamment, l’importance pour une ville de détenir un centre hospitalier sur son territoire, à taille humaine, en prise directe avec les besoins de ses habitants. C’est un projet de santé publique sur le long terme, au service des Sévriens et bien au-delà.

Au printemps 2026, une maison de santé ouvrira à Sèvres

Parmi les bonnes nouvelles, il est à citer le projet de maison de santé qui ouvrira au rez-de-chaussée du Centre hospitalier des Quatre Villes au printemps 2026. En effet, le CMA (centre médical d’appui qui a déjà ouvert 8 centres en petite couronne), travaille actuellement sur ce projet, initié en réponse à un appel à projet, dans l’optique d’améliorer l’offre et l’accès aux soins pour les Sévriens.

Au moins 3 nouveaux médecins généralistes pour les Sévriens

La maison de santé représentera une avancée majeure pour les Sévriens avec l’arrivée dès l’ouverture d’au moins 3 nouveaux médecins généralistes. En regroupant divers professionnels de santé sous un même toit, elle favorisera une approche collaborative des praticiens qui exerceront dans l’établissement, permettant ainsi une prise en charge des patients au plus proche de leur domicile.

Une structure attrayante pour les médecins

L’un des atouts majeurs de cette structure est la gestion administrative centralisée. Les professionnels de santé pourront se concentrer pleinement sur la prise en charge de leurs patients, délestés des tâches administratives souvent chronophages. Cette simplification administrative est un argument de poids pour attirer de nouveaux médecins, en leur offrant un environnement de travail stimulant et serein.
De plus, exercer au sein d’une maison de santé permet de rompre l’isolement souvent ressenti par les praticiens en cabinet individuel. Le travail en groupe favorise les échanges, le soutien mutuel et la formation continue, créant ainsi une dynamique positive et enrichissante, au service de la santé des Sévriens.

Au printemps 2026, un site de l’EPS ERASME, dédié à la pédo-psychiatrie

Dès le 1er semestre 2026, l’établissement Public de Santé ERASME viendra s’installer dans la galerie du Théâtre. Déjà présent dans 19 communes du sud des Hauts-de-Seine, l’EPS ERASME propose deux types de prises en charge aux enfants de 2 à 12 ans :

  • Un Centre d’accueil thérapeutique à Temps Partiel (CATTP), qui accueille les enfants de 2 à 8 ans, sur des demi-journées de prise en charge en groupe, par différents professionnels intervenant auprès des enfants et de leurs familles (pédopsychiatres, psychologues, psychomotriciens, orthophonistes…).
  • Un Centre Médico-Psychologique (CMP), qui accueille des enfants de
    2 à 12 ans pour des consultations médico-psychologiques et sociales.

Les objectifs de cette nouvelle implantation sévrienne : répondre à un besoin national exponentiel en soins psychiatriques chez les enfants et simplifier les démarches et la logistique pour les familles concernées. Assisté dans sa conception par KARAKTER Architectes, cabinet spécialisé dans l’agencement de locaux médico-sociaux, l’EPS ERASME à Sèvres pourra accueillir ses patients dans un environnement adapté et fonctionnel.

Nous nous réjouissons de l’ouverture prochaine du centre ERASME dont l’emplacement a été choisi pour être à proximité immédiate de la PMI et la Maison de la famille. Nous avons d’ailleurs déjà signé une convention avec cette dernière afin de pouvoir dores et déjà proposer des consultations au sein de ses locaux, commente la direction du centre. Cela faisait sens de se regrouper en un même endroit, afin de faciliter le parcours des familles dont les enfants sont pris en charge. Nous sommes réellement reconnaissants de l’accompagnement que la Ville nous a offert, notamment dans la recherche de locaux adaptés à ce type de soins.

Voici un résumé adapté pour le site internet de la Ville de Sèvres concernant la présentation de la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) Fausses-Reposes, réunion du 30 avril 2025.

La CPTS Fausses-Reposes : Un projet de santé au service de notre territoire

La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) Fausses-Reposes regroupe des professionnels de santé de Sèvres et des communes voisines (Chaville, Garches, Marnes-la-Coquette, Vaucresson, Ville-d’Avray). Son objectif : améliorer l’accès aux soins, la coordination et la prévention pour tous les habitants du territoire.

Qu’est-ce qu’une CPTS ?

La CPTS est une association qui rassemble médecins, pharmaciens, infirmiers, kinésithérapeutes, orthophonistes, etc., autour d’un projet commun : répondre ensemble aux besoins de santé locaux, fluidifier le parcours de soins, renforcer les liens entre professionnels et développer des actions de prévention.

Les enjeux de santé sur notre territoire

  • Vieillissement de la population : besoins croissants en accompagnement médical et social.
  • Difficultés d’accès aux soins : diminution du nombre de médecins, impactant les populations vulnérables.
  • Coordination des soins : nécessité d’améliorer la communication entre professionnels.
  • Prévention et dépistage : renforcer les actions existantes face à la baisse de la démographie médicale.

Les axes de travail de la CPTS

  1. Accès aux soins : Favoriser l’installation de nouveaux professionnels, améliorer la prise en charge des soins non programmés, développer la télémédecine.
  2. Organisation des parcours patients : Créer des parcours spécifiques (personnes âgées, santé mentale, sport-santé), fluidifier la coordination ville-hôpital.
  3. Prévention et dépistage : Renforcer le dépistage des cancers, la prévention en milieu scolaire, et la sensibilisation des professionnels.
  4. Réponse aux crises sanitaires : Préparer et coordonner la réponse locale en cas de crise sanitaire majeure.
  5. Qualité et pertinence des soins : Développer des outils de communication, organiser des rencontres interprofessionnelles, faciliter l’accès à l’information.
  6. Accompagnement des professionnels : Accueillir et intégrer les nouveaux praticiens, créer des outils collaboratifs (site internet, newsletter), soutenir l’installation de cabinets médicaux.

Devenir membre de la CPTS

L’adhésion à la CPTS Fausses-Reposes est gratuite et ouverte à tous les professionnels de santé du territoire. Elle permet de participer à une dynamique collaborative, d’échanger facilement avec ses pairs et de s’informer sur les actions en cours.

 

Contact et pré-inscription :
Dr Léa CHICHE
Tél. : 06 64 90 85 47
Mail : cpts.faussesreposes@gmail.com

Les enfants cachés et la Maison de Sèvres

En 2025, nous célébrons les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre de l’exposition Au nom de Catherine (6 mai – 6 juin), la médiathèque organise une conférence sur les enfants cachés au sein de la Maison de Sèvres.

Céline Fellag Ariouet a étudié l’histoire de la Maison d’enfants de Sèvres à partir de documents d’archives, dans le cadre de son mémoire de maîtrise Les enfants cachés pendant la Seconde Guerre mondiale, aux sources d’une histoire clandestine.
Elle reviendra sur ce sujet historique passionnant à l’occasion d’une conférence qui aura lieu le 24 mai à la médiathèque, lors de laquelle elle dévoilera le fruit de ses recherches sur cette maison atypique à l’époque de l’Occupation.

La maison d’enfants de Sèvres, un laboratoire éducatif…

En octobre 1941, rue Croix-Bosset, un ancien couvent désaffecté est transformé en maison d’enfants du « Secours national Entr’aide d’hiver du Maréchal » pour accueillir des enfants victimes de la guerre et de l’exode. À la tête de cette maison, Yvonne et Roger Hagnauer, deux instituteurs qui étaient engagés dans la réflexion autour des méthodes pédagogiques innovantes.

… devenu un refuge salvateur durant la guerre

De 1941 à 1945, la maison accueille principalement des enfants de confession juive (jusqu’à deux tiers de l’effectif), et bénéficie de complicités à Sèvres pour produire de faux papiers. La Maison de Sèvres accueille ainsi toutes celles et ceux que les lois de Vichy ont condamnés. Enfants et adultes utilisent des totems pour ne pas révéler leur identité lors des visites officielles. Roger et Yvonne Hagnauer sont connus par les enfants sous les noms de Pingouin et Goéland.
La maison prend le nom de «Petite République» et adopte pour devise
« La liberté ou la mort » fièrement affichée en bas de l’escalier pour être vue par les officiels qui viennent visiter la maison.
Après la guerre, les Hagnauer et leurs petits protégés s’installent dans une maison plus spacieuse à Meudon mais le nouvel établissement continue à s’appeler «Maison d’enfants de Sèvres». De nombreux enfants qui n’ont pas retrouvé leurs parents restent dans la maison, beaucoup n’en partiront qu’à l’âge adulte au moment de leur mariage.

Conférence Les enfants cachés
et la Maison de Sèvres
Samedi 24 mai, à 16 h – médiathèque de Sèvres
Entrée libre – À partir de 13 ans

Sèvres cultive l’esprit européen

Le 9 mai, la journée de l’Europe célèbre le 75e anniversaire de la date fondatrice de l’institution. Depuis des années, Sèvres multiplie les initiatives pour renforcer l’esprit européen.

Jumelée depuis 1958 avec Wolfenbüttel, Sèvres a le goût des échanges interculturels. Dans ce but, la Ville organise régulièrement des voyages et des événements autour de ce jumelage. Ainsi du 11 au 15 septembre 2024, trente-cinq Sévriens s’étaient rendus en Allemagne. Ce voyage avait permis à des artistes, sportifs, enseignants de mieux se connaître en partageant des moments conviviaux. En 2025, ce sera aussi le cas puisque dans le cadre du Festival des cultures urbaines qui se déroule en octobre, la journée du 4 octobre aura pour thématique l’Allemagne. Cela permettra de mettre en valeur le jumelage avec un groupe de musique actuelle et d’autres événements qui sont en cours de programmation.
Enfin du 17 au 21 octobre la commune accueillera également le Conseil municipal des jeunes de Wolfenbüttel (JuPa) qui échangera avec le Conseil Communal des Jeunes (CCJ) de Sèvres.

INTERVIEW : Elena Maugis

« Les élèves ont découvert beaucoup de choses »

Professeur d’allemand au collège de Sèvres, cette enseignante apprécie
particulièrement les échanges culturels.

Du 24 au 28 mars vous avez effectué un voyage en Alsace pour que les
collégiens de Sèvres rencontrent les collégiens de leur ville jumelle. Quel est votre bilan ?
Nous nous sommes rendus au Centre international Albert Schweitzer qui est construit à côté d’un cimetière de la Seconde Guerre mondiale. Cela a permis d’effectuer un travail de mémoire et des activités pour rapprocher les jeunes des deux pays. C’était vraiment très positif pour les élèves qui ont découvert beaucoup de choses en passant 5 jours avec des gens qu’ils ne connaissent pas et qui viennent d’un autre pays. Ils ont été surpris et se sont rendus compte que l’allemand existe aussi en dehors de la salle de classe et que de vraies personnes parlent cette langue. Cela leur a aussi donné le goût de la relation avec les autres.

Préparez-vous un nouveau voyage ?
Oui. Nous sommes en train de planifier un échange avec Wolfenbüttel pour avril 2026. La même année les élèves de notre ville jumelée viendront nous voir en retour au mois de juin.

Pourquoi ces rencontres sont-elles importantes ?
Elles contribuent à renforcer la construction européenne, l’amitié entre les peuples et entretiennent nos liens avec Wolfenbüttel. Souvent c’est aussi le seul moyen de rencontrer la culture allemande alors que ce pays est juste à côté de la France. Je suis assez émerveillée de voir que nous avons connu plusieurs guerres et que maintenant il existe des traités pour que les jeunes et les administrations se rencontrent.

« Attachée aux valeurs européennes de paix, de solidarité et de coopération, la Ville de Sèvres célèbre chaque année la journée de l’Europe. C’est aussi l’occasion de mettre à l’honneur son lien de jumelage avec Wolfenbüttel. Sèvres se réjouit particulièrement de la reprise, en 2024, des échanges scolaires entre les deux villes, rendus possibles grâce à l’implication du collège de Sèvres avec Mesdames Amandine Philippon, Elena Maugis et Mme Nina Fricke du collège de Wolfenbüttel.
Au-delà de l’apprentissage linguistique, ces rencontres nourrissent la compréhension mutuelle, encouragent la tolérance et renforcent chez les jeunes une conscience européenne vivante et fraternelle ».

Assunta Mesmin
Maire-adjointe déléguée au jumelage et à l’apprentissage des langues, et aux services numériques.

Une nouvelle rue scolaire expérimentée dans le quartier Croix-Bosset

Le 28 avril, et pour une durée de 3 mois, la Ville de Sèvres a lancé une nouvelle expérimentation de « rue scolaire » aux abords des écoles Croix-Bosset et Goéland et Pingouin.

Ce dispositif, déjà mis en place avec succès aux abords des écoles Gambetta, vise à sécuriser les abords des établissements scolaires aux heures de dépose des enfants. Cette nouvelle « rue scolaire » bénéficie aux 477 enfants de l’école maternelle Goéland et Pingouin et de l’école élémentaire Croix-Bosset et à leurs parents.

Qu’est-ce qu’une rue scolaire ?

Le principe de la rue scolaire est simple : permettre aux enfants et à leurs parents de rejoindre l’école dans un environnement apaisé et sécurisé, en interdisant temporairement l’accès de la rue aux voitures et autres engins motorisés. Ce dispositif encourage les mobilités douces (trajets à pied, à vélo, en trottinette…) et diminue les nuisances sonores.

Concrètement, comment ça se passe ?

Depuis le 28 avril, une barrière est installée rue Croix-Bosset à l’angle de la rue Fréville-Le-Vingt. Elle est fermée par un agent municipal chaque matin de 8h10 à 8h30 les jours d’école. Pendant ce créneau, seuls les véhicules de secours sont autorisés à passer. Les riverains
disposant d’un véhicule stationné dans la rue peuvent sortir, mais
seront invités à adapter leurs habitudes de déplacement.

Un dispositif inspiré du succès de l’école Gambetta

L’expérimentation précédente menée fin 2022 aux abords des écoles
Gambetta et de la crèche de la Roseraie a montré des résultats très positifs. Après trois mois de test, 91,3% des usagers interrogés ont souhaité pérenniser le dispositif. Cette initiative a permis d’augmenter les déplacements actifs (marche, vélo) tout en limitant le recours à la voiture. Les retours ont également souligné le calme et l’apaisement engendrés par la fermeture temporaire de la rue Victor-Hugo.

Communication et accompagnement

Pour garantir le succès du projet, la Ville a déployé une communication en amont auprès des habitants et des usagers : flyers distribués dans les boîtes aux lettres des Sévriens habitant le secteur, communication avec les parents, signalétique extérieure.
À l’issue des 3 mois de test, un questionnaire permettra de récolter les avis de chacun et d’en tirer tous les enseignements utiles.
Un retour sur l’expérimentation sera publié dans Le Sévrien de septembre.
Avec cette deuxième rue scolaire, Sèvres poursuit son engagement en faveur d’une mobilité douce et d’un cadre sécurisé pour ses jeunes habitants.

« Comme pour les écoles Gambetta, le choix de mettre en place une « rue scolaire » aux abords des écoles du quartier Croix-Bosset vise à renforcer la sécurité des piétons, et tout particulièrement des enfants, pour une arrivée sereine à l’école. Ce dispositif contribue également à favoriser les déplacements à pied. Gageons que cette nouvelle rue scolaire rencontrera le beau succès de celle de la rue Victor Hugo ! »

Anne Texier
1ère adjointe au maire
Affaires scolaires, transition écologique

Retrouvez le maire en direct

Le maire Grégoire de La Roncière vous donne rendez-vous jeudi
15 mai 2025 à 19h30 sur la page Facebook Ville de Sèvres pour une nouvelle séance de questions/réponses en direct. L’occasion d’échanger avec lui sur les sujets d’actualités de la ville, et pour en savoir plus sur les projets en cours ou à venir à Sèvres.
Vous pouvez d’ores et déjà envoyer vos questions en message privé sur la page Facebook ou le compte Instagram de la Ville ou encore les poser en direct le jour du Facebook live et le maire y répondra.

Restés connectés !
Jeudi 15 mai à 19h30
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