47e concours national de jazz de La Défense : ouverture des inscriptions

Le Département des Hauts-de-Seine lance l’appel à candidatures pour le 47e concours national de Jazz de La Défense. Organisé dans le cadre de La Défense Jazz Festival, il est ouvert à tous les courants du jazz. Il permet de soutenir le développement de carrière de la scène émergente avec l’attribution d’un prix de 5 000 euros pour le « Prix du Concours National de Jazz de La Défense » et de 1 500 euros pour le « Prix d’instrumentiste ». Les lauréats sont choisis par un jury composé de journalistes, diffuseurs, programmateurs, spécialisés dans le jazz.
Six groupes sélectionnés se produiront sur scène les 26 et 27 juin prochain pour un concert de 30 minutes chacun. Déposez votre candidature d’ici le 24 mai prochain sur le site www.hauts-de-seine.fr.
Bonne chance !

Renseignements :

www.hauts-de-seine.fr

Du nouveau chez vos commerçants !

Nouveau gérant pour
« Le tabac du Pont »

À deux pas du pont de Sèvres, Frédéric Qian est le nouveau gérant du tabac, nouvellement renommé Le tabac du Pont. Pendant des années, Frédéric Qian a tenu un tabac dans la capitale, avant de s’éloigner et de choisir Sèvres.
Il propose presse, magazines, tabac, bonbons, etc. Nouveauté, les clients pourront également se servir une boisson chaude (type café ou thé) au distributeur récemment installé. « Cela permet d’échanger plus facilement avec la clientèle. Le lieu est ainsi plus accueillant, c’est important pour moi » explique le gérant.

Renseignements :
Le tabac du Pont
21, Grande Rue
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 7h30 à 19h30 – le samedi de 9h à 18h

Cosy Time : le « spot » préféré des jeunes

À côté de l’Hôtel de ville, le restaurant Cosy Time s’affirme comme un lieu de choix pour les jeunes et les familles
sévriennes. Samia Benaiche, gérante, accueillante et toujours souriante, anime Cosy Time avec l’aide de ses associés, Florian Benaiche et Nabil Boutarene. Au menu, une carte simple, parfaitement adaptée à tous les moments de la journée. Les burgers, bagels, et surtout les wraps tenders, spécialité de la maison, sont prisés pour leur saveur et le soin apporté à leur préparation maison. Et cerise sur le gâteau, le café restaurant propose à sa clientèle une terrasse ensoleillée, de quoi se détendre entre amis ou en famille !

Renseignements :
Cosy Time
52, Grande Rue
Tél. : 09 78 80 01 68
Horaires d’ouverture : du lundi au samedi de 8h30 à 18h30

Bienvenue à « La Perle de Marrakech », premier restaurant de spécialités marocaines à Sèvres

Couscous, tajine, pastilla, pâtisserie orientale… La cuisine marocaine s’invite à Sèvres ! Depuis le début du mois de mars, le restaurant « La perle de Marrakech » vous accueille dans le quartier de la Cristallerie. A la tête de cette nouvelle enseigne, Fatima Ezzohra : « dans ma vie, la cuisine a toujours été omniprésente. D’ailleurs, ma famille a un restaurant à Marrakech sur la célèbre place Jemaa El-Fna. En ouvrant ce restaurant à Sèvres, je souhaite faire voyager ma clientèle en leur donnant le goût de la véritable cuisine de mon pays ».
La carte fait la part belle aux produits faits maison et met à l’honneur les célèbres plats traditionnels tels que les couscous et les tajines, mijotés dans des marmites en terre cuite. La semoule est soigneusement préparée à la main, les sauces goûteuses viennent parfumer ces plats typiques ! Pour les amoureux des desserts, le restaurant propose de magnifiques pâtisseries orientales : cornes de gazelle, baklava, zlabiya, kenafeh, à base de miel, amandes, noix, dattes ou encore graines de sésame. Oui, « La Perle de Marrakech » vous promet un voyage culinaire dans l’ambiance marocaine sans quitter la ville.

Renseignements :
La Perle de Marrakech
3, Grande Rue – Tél. : 01 45 34 66 82 / 06 26 44 95 45
Mail : laperledemarrakech92@gmail.com
Horaires d’ouverture : du lundi au samedi de 11h30 à 22h30 en continu

Déviation piétonne pour les usagers de la gare Sèvres Rive gauche

Un arrêté municipal du 14 mars dernier interdit la circulation piétonne rue Henry-Duveyrier (au droit de la circulation) et entre le numéro 4 de la rue Ernest-Renan et le passage sous la voie SNCF de la gare Sèvres – Rive gauche. Cette interdiction a été prise en raison de très importantes dégradations sur le mur de soutènement. Sur une douzaine de mètres de long et sur l’entièreté de sa hauteur (4 mètres environ) dans sa partie située à proximité du passage sous voie ferrée, des lézardes et d’importantes épaufrures ont été constatées.

Cette interdiction doit être maintenue et respectée par les usagers tant que le butonnage (soutènement du mur grâce à des étais) n’aura pas été finalisé par Grand Paris Seine Ouest et la ville de Sèvres.

Une déviation piétonne est actuellement mise en place pour guider au mieux les usagers.

Des piétons en sécurité grâce à des places de stationnement neutralisées

La loi d’orientation des mobilités (LOM) demande l’obligation de la suppression du stationnement motorisé sur les 5 mètres en amont des passages pour piétons. Cette mesure, qui doit être mise en place par les collectivités d’ici le 31 décembre 2026 a pour objectif de sécuriser les traversées piétonnes en permettant une meilleure visibilité mutuelle entre les piétons et les véhicules. Au passage piéton, les personnes de petite taille, notamment les enfants, sont particulièrement concernées. À 30 km/h, le dégagement visuel de 5 mètres permet à une voiture de s’arrêter en cas de danger.
Depuis plusieurs semaines à Sèvres, certains riverains ont donc remarqué la suppression des places de stationnement situées en amont des passages piétons.
Grand Paris Seine Ouest a commencé ces aménagements sur le territoire. Ces places sont et seront aménagées en parking pour vélos, jardinières ou bien encore avec la pose de mobilier urbain.

#BalanceTonScoot mal garé !

Marre de voir des scooters garés sur les trottoirs ?
Saviez-vous qu’il vous est possible depuis quelques mois, de dénoncer un scooter mal garé ou endommagé grâce à une nouvelle plateforme créée par Cityscoot (attention, depuis le 23 février 2024, Cityscoot propose son service uniquement via Cooltra), le leader du scooter électrique en libre-service. Déployé sur le territoire de Grand Paris Seine Ouest (à Sèvres depuis 2021 exactement), cette entreprise de location de scooters en libre-service a mis en place une plateforme #BalanceTonScoot pour sensibiliser les usagers au respect du stationnement en ville. Le principe est simple : chacun peut se connecter pour venir dénoncer un scooter en faute en le localisant sur une carte. L’utilisateur est alors invité à prendre une photo de l’engin en question et de fournir la marque ainsi que le numéro d’immatriculation de l’engin. Le signalement est alors étudié par Cityscoot qui intervient et procède à un enlèvement du scooter. N’oublions pas que les stationnements gênants ou dangereux sont passibles de 135 euros d’amende. À bon entendeur !

Plus d’informations sur https://www.seineouest.fr/vos-services/transports/vehicules-partages

La lutte contre une espèce invasive : le laurier du Caucase

Vous l’avez déjà vu voire utilisé pour créer des haies végétales… Le Laurier du Caucase est une plante utilisée généralement pour délimiter des habitations, des commerces… Utilisé pour son aspect persistant et couvrant, c’est pour ces mêmes raisons que cette plante est un invasif en forêt. Une fois apparue en forêt, cette espèce s’installe très rapidement et se développe à grande vitesse.
Aujourd’hui, plusieurs massifs domaniaux sont impactés à l’instar de la forêt des Fausses-Reposes notamment. Plusieurs facteurs favorisent son implantation :

  • les dépôts de déchets verts en forêt. Animés de bonnes intentions, certains usagers pensent que jeter les déchets verts (composés de matière organique) issus de l’entretien d’espaces verts, des jardins permettra d’enrichir les sols grâce à leur décomposition. Or, ces dépôts peuvent au contraire asphyxier les sols, déséquilibrer la composition de l’humus forestier, et favoriser la prolifération de plantes invasives. Le Laurier du Caucase ayant une capacité à faire des racines, chaque branchage issu d’une taille et déposé en forêt est une potentielle bouture.
  • les fleurs du Laurier du Caucase produisent des graines dont se nourrissent les oiseaux. Par leurs excréments les oiseaux disséminent ces graines et favorisent l’implantation du Laurier. C’est pourquoi il est conseillé de couper les haies de Laurier du Caucase avant la période de floraison.
Préférez d’autres espèces pour vos haies

La seule solution à cette invasion est tout simplement l’arrachage de cette plante. L’Office national des forêts (ONF) lutte depuis plusieurs années contre la prolifération du laurier du Caucase par l’arrachage mécanique et l’arrachage à cheval. Des associations de citoyens comme l’association Environnement Fausses-Reposes participent également grandement par l’organisation de chantiers de lutte.
Pour les particuliers, il est également conseiller de préférer une haie champêtre composée de plusieurs espèces, et de supprimer les haies de lauriers surtout quand elles sont à proximité du milieu forestier.

Plus d’infos sur www.onf.fr

Les chenilles processionnaires font leur retour

Avec le retour des beaux jours, les chenilles processionnaires sont de retour. Deux espèces existent en France. La première est la chenille processionnaire du pin de couleur brun orangé qui colonise les résineux de la famille du pin. La deuxième est la chenille processionnaire du chêne de couleur argenté qui vit dans les arbres de cette même famille. La larve de ce papillon vit la plupart du temps dans son cocon de soie et ne sort que pour se nourrir des feuilles ou des épines.
Ces chenilles sont dangereuses pour l’homme et les animaux, en cause leurs poils urticants qui provoquent irritations, brûlures et éruptions cutanées douloureuses ainsi que des troubles oculaires et respiratoires. Vous l’avez compris, il convient de rester prudent et il est important de porter une attention toute particulière aux enfants et aux animaux.

Voici quelques conseils que vous pouvez suivre :

  • n’approchez pas et ne touchez pas les chenilles, leur nid ou les arbres porteurs de nid et gardez les enfants éloignés
  • à proximité d’arbres infestés, évitez de faire sécher le linge et lavez les fruits et légumes cueillis
  • évitez les zones à risque durant la période de présence des chenilles
  • en balade dans une forêt de pins (de janvier à mai) ou de chênes (d’avril à juillet), portez des vêtements longs, évitez de vous frotter les yeux et lavez-vous les mains en retour de promenade.

Dans le cas d’une exposition et en cas de signes d’urgence vitale, appelez immédiatement le 15 ou le 112.
En cas d’autres symptômes (rougeur, démangeaison, etc), appelez un centre antipoison ou consultez un médecin.

Inscription à la conférence sur la vie du sculpteur Achiam

En avril, à vous de chercher Orson le hérisson

Un museau pointu, un dos hérissé de piquants bruns ? Pas besoin d’en dire plus pour deviner quel animal se cache derrière cette description?: le hérisson, précieux allié du jardinier, tant il affectionne insectes et
limaçons… Encore faut-il qu’il passe par vos massifs… car la petite bête se fait discrète.
Invisible durant la journée, c’est souvent à la tombée de la nuit que ce petit animal met son nez dehors. Et à partir du printemps ! Car le hérisson hiberne, roulée en boule, caché sous un tas de bois par exemple. Alors comment le trouver ? Quelques indices peuvent vous aider à savoir si un hérisson vit dans votre jardin : d’abord un nid, enfoui sous un fagot, ensuite des excréments de forme ronde, qui brillent de l’éclat des élytres d’insectes (un élytre est l’une des deux ailes antérieures des insectes), sa source d’alimentation principale. Si vous entendez du bruit la nuit, entre les mois d’avril et septembre-octobre, il s’agit probablement du hérisson. Il se déplace avec peu de discrétion et en soufflant et grognant bruyamment. S’il se sent en danger, il poussera des petits couinements puis se mettra en boule. En revanche, si vous l’approchez doucement, il ne s’enfuira pas. Attention, cependant, car les hérissons sont fort sujets au stress et peuvent en mourir quelques heures après. Alors, le mieux est donc de l’observer de loin.
À présent, vous avez tous les éléments pour tenter de le trouver sur le territoire sévrien. À vous de le trouver ! Et n’oubliez pas de reporter sur la carte interactive (voir ci-dessous) le lieu où vous les avez croisés.

Une conférence sur la vie du sculpteur Achiam

Dans le cadre de la 6e édition du Printemps de la sculpture organisé par le Département des Hauts-de-Seine, la ville de Sèvres organise une conférence à l’Hôtel de ville, samedi 6 avril à 10h30. Cette conférence, animée par Loetitia Mathou, tournera autour de la vie du célèbre sculpteur Achiam. Décédé en 2005, le sculpteur sévrien travaillait la pierre en taille directe, technique qu’il employait tout au long de son œuvre, sur la pierre volcanique le plus souvent. Tout le talent d’Achiam résidait en cette habileté à donner de la grâce à cette pierre d’apparence austère. Derrière l’apparente douceur de ses œuvres, se cache une lutte constante avec la matière. Un style dépouillé empreint de Brancusi qui suscite l’émotion ! Venez découvrir la vie de ce sculpteur. Trois de ses œuvres seront prochainement dévoilées sur la Promenade des jardins…

Renseignements :

Conférence La vie du sculpteur Achiam – Samedi 6 avril à 10h30 – Hôtel de ville

Inscription

Neuf premiers arbres plantés dans le square Carrier-Belleuse

Merisier à fleurs, pommier Evereste, marronniers, cerisier à grappes… Neuf nouveaux arbres ont élu domicile dans la partie sud du square Carrier-Belleuse dans le cadre des travaux de requalification lancés par Grand Paris Seine Ouest en partenariat avec la ville de Sèvres et avec le soutien financier de la Métropole du Grand Paris.
Le 4 mars dernier, la mini-pelle du prestataire Terre idéale, après avoir préparé les fosses en amont, a délicatement posé chacun des arbres dans sa nouvelle habitation. « Nous avions préparé le terrain pour pouvoir planter ces nouveaux sujets. Nous avons aspiré l’ancienne terre sur 20 cm, et transporter de la terre végétale afin également, de protéger les racines des arbres existants pendant l’hiver. Cette terre végétale nous sert aujourd’hui à remblayer la fosse de chacun des nouveaux arbres » explique Nelson Branco, chef de chantier de Terre idéale. Et Véronique Decaux, cheffe de projets espaces publics à Grand Paris Seine Ouest de compléter : « Nous plantons aujourd’hui 9 sujets sur un total de 20 nouveaux arbres à terme. Les autres spécimens seront quant à eux plantés ultérieurement car ils pourraient gêner la suite du chantier ».
Pour rappel, le projet de requalification du square Carrier-Belleuse s’attache à renforcer l’attractivité du square en rénovant les espaces de jeux et les équipements existants, en mettant en valeur la roseraie et le patrimoine architectural dans le cadre d’un site historique remarquable.

Quelques mots sur les essences plantées …

Merisier à fleurs
Le merisier à fleurs est un petit arbre à couronne dense, ronde et régulièrement ramifiée. Son écorce brun rouge et luisante devient ridée en vieillissant. Sa floraison est blanche de fin avril à mai…

Pommier d’ornement Evereste
Le pommier Evereste offre un joli contraste entre les feuilles vertes et la multitude de boutons roses, qui laissent éclore des fleurs blanches dès le mois d’avril. Les fruits sont de petites pommes orangées qui persistent jusqu´en hiver.

Marronnier
Le marronnier commun est également appelé marronnier d’Inde, bien que l’espère soit considérée comme originaire des régions montagneuses au Nord de la Grèce. C’est un grand arbre rustique qui impressionne toujours par son imposante carrure et son port étalé, d’autant plus au printemps, au moment où se déploie sa phénoménale floraison en panicules érigées coniques à cylindriques.

Cerisier à grappes
Le Prunus padus ou « cerisier à grappes » est un petit arbre ou un grand arbuste qui fleurit au printemps. D’avril à juin, ses fleurs blanches exhalent un parfum d’amande et sont régulièrement visitées par les pollinisateurs. Au cours de l’été, les fleurs laissent place aux fruits, de petites drupes rouges puis noires qui lui ont valu les noms de cerisier à grappes ou de merisier à grappes. Bien que non toxiques, ne les mangez pas ; leur saveur aigre-douce n’est supportable que par les oiseaux, qui en raffolent… d’où le nom, vous l’aurez deviné, de cerisier des oiseaux !